Genre: Jazz Date: 2007 Country: USA Audio codec: FLAC Quality: lossless Playtime: 48:12
Thanks to diogene
1. Relaxin’ at Charenton (5:32) 2. A Lover’s Mask (5:55) 3. Come My Way (5:04) 4. A Night in Venezia (7:08) 5. The Marquis is Back (5:58) 6. Justine (5:42) 7. Bach to the Blues (5:26) 8. Eine Kleine Jazz Music (3:25) 9. Madrigal (4:06)
Certes, mais pas pour tout le monde ! j’entends déjà les envolée de pucelle dans les dortoirs quand au retour du divin Marquis….lol Les deux opus sont d’excellente facture, mais pour mon goût personnel le premier est un peu au dessus. La piste ” Justine” sur cet opus, est un vrais petit bijou Schifrinien, on dirais du Morricone sans en être dans l’absolue, c’est du Schifrin….. Enjoy !
Après une pochette à la “Orange Mécanique”, SCHIFRIN revient sur son sujet avec une pochette à la “wide eyes shut”…lol…Onn ‘a dit qu’on ne parlait plus de Kubrick… En 1966, le 1er volet du “Marquis de Sade” est un pur chef-d’oeuvre. Lalo SCHIFRIN va connaître avec les années 60 et 70 deux décennies où il il va illuminer la musique de films et les séries TV:. d’ailleurs, il connaitra 6 nominations aux Oscars entre 1967 et 1983, mais sans en obtenir un seul. Je cite mes préférés : “Les Félins” (1964) “Des agents très spéciaux” (1964) “La grande vallée” (1964), “Le Kid de Cincinnati” (1965), “Mission impossible” (1966), “Mannix” (1966-67) “Luke la main froide ” (1967) “Bullitt” (1968) “un shériff à New York” (1968) “de l’or pour les braves ” (1970) “L’inspecteur Harry ” (1971) “la colère de Dieu” (1972) “Opération Dragon” (1973) “Magnum Force” (1973)” la planète des singes TV” (1974) “Starsky et hutch” (1975)… Revenir avec une suite pour l’album solo du “Marquis de Sade” 35 ans plus tard est un défi risqué. Ses contributions pour le cinéma sont devenues bien rares dans les années 2000 (il est né en 1932) et Lalo SCHIFRIN préfère se consacrer aux concerts de ses oeuvres passées. Alors, que penser de ce “return of the Marquis de Sade” ? Certes, nous n’arrivons pas à la qualité exceptionnelle de 1966, mais c’est tout de même un sacré album ! Les titres 4, 5 et 6 auraient pu se trouver d’ailleurs sur le 1er volet tant le niveau est au rendez-vous. Une constatation : moins jazzy, plus contemporain, c’est sans doute là que cette suite “perd du terrain” par rapport à 1966. mais Lalo SCHIFRIN est bien toujours là ! Plutôt que le retour du Marquis de Sade (je pense d’ailleurs que la référence à Casanova “a night in Venezia” aurait été plus exacte…mais c’est du marketing), j’ai envie de dire “Lalo SCHIFRIN is back”. Et c’est tant mieux ! Un Grand Monsieur de la musique et du jazz en particulier. Merci énormément Diogène pour ces 2 albums d’anthologie.
Avec plaisir mon bon Laurent et tu a tout résumer, le premier Opus est une tuerie et le deuxième pèche legerement du fait de son aspect musical plus contemporain, ce qui n’enlève rien bien sur a sa qualité” musical. Et quel plaisir de te lire mon bon Laurent, tu devrais faire cela plus souvent et en Anglais pour que tous le monde puisse en profiter pleinement, mais bon, celui qui est intéressé peux passer par un traducteur c’est sur. D’ic le fin de la semaine, je préconise une session d’envoi un peu particulière et toujours avec un rapport filmique , cela va surement te surprendre, mais j’aime assez cela…J’espère que tu m’en diras des nouvelles ” en bien ou en mal” avec le même plume et honnêteté. Je viens également de m’apercevoir que le titre ” Oceano” de Morricone , présent sur ce site, a été envoyer a admin par un autre fan du Maestro, ce qui signifie que admin ne le possède pas en FLAC. je vais donc le joindre a ma session d’envoi. J’espère que tu n’a pas tenté de l’écouter en MP3 ? la curiosité et l’envi de savoir ayant été plus forte que mes recommandations. Je t’explique pourquoi sommairement : Oceano, c’est un type qui recherche une ile perdu sur l’océan pacifique, Morricone sur cet Opus a retranscris toute un univers musical en rapport a cette vie dans l’ile. Tout y est, un bon thème principal ” la déclinaison d’un thème de Il grande silenzio” et toutes une serie de plage qui retranscrive avec des instruments, ce qui se passe dans l’ile…c’est un doc sans parôle, juste le musique de Morricone pour accompagner notre misanthrope…Hululement de chouette ou de hibou, vent dans les arbres, retranscription de bruits d’animaux, d’oiseaux etc…le tout sur des rythmes originel. Lors ce que Edda Dell” Orso susurre ses mélopée dans le vent, tu sens la caresse de celui ci dans tes cheveux mon bon Laurent, mais pour cela, il faut découvrir ce score dans les meilleurs conditions possible, allongé sur son canapé, les yeux fermé et totalement paisible. Le voyage est fantastic ! donc, j’espère que tu n’a pas céder a la curiosité, elle est un vilain default. lol. A te lire.
Mon bon Diogène, J’ai sagement attendu le FLAC d'”Oceano”, pas de problème. Et j’ai hâte à présent de faire le voyage si bien décrit… Ce soir, j’ai vu le film “L’Extase et l’agonie” avec Charlton HESTON et Rex HARRISON, sur la genèse de la création de la fresque de la Chapelle Sixtine. Très beau film. Et j’ai pensé à toi en écoutant la musique d’Alex NORTH (nommée aux Oscars à l’époque). Son registre, sujet oblige, est bien différent de “Spartacus” ou “Cléopâtre”. Je ne sais pas si tu vois de quoi je veux parler. Une grâce particulière, sacrée mais profane en même temps, sans dissonance aucune, et très apaisée. Plus sur l’Homme que sur Dieu. Cela te dit quelque chose ? Cela vaut le coup de ré-écouter cette B.O. si elle est un peu loin dans ton souvenir (mais tu dois l’avoir dans l’oreille, connaissant ton goût pour le répertoire de NORTH). Je compte bien y faire un tour demain…A te lire…
Oui , bien sur mon bon Laurent, Goldsmith a d’ailleurs écris quelques thèmes je crois sur cette partition, mais cela fait longtemps que je ne l’ai pas écouter. Ce n’est pas le genre de partition de North que j’affectionne particulièrement, même si j’aime bien de temps en temps me replonger dans ce genre d’épopée, mais j’ai mes moments et finalement je me suis aperçus que j’écoutais toujours la même chose…Pourquoi ? je n’en sais rien, mais je pense que les scores de cette époque ne sont écoutable pour moi que sous certaines conditions, il y a le sujet du film qui compte, le Score bien sur qui l’accompagne , mais aussi la qualité de l’enregistrement. Enfin, bref, il y a tout un tas de paramètres qui rentrent en ligne de compte pour que je me régale vraiment. Heureusement que Raine, Steiner, Gherardt et cie…sont parvenu jusqu’à moi lol…. A te lire.
Mon bon Diogène, Le score est pourtant sur le site en édition deluxe avec FLAC ! Effectivement, le prologue et autres morceaux pour 12 mn au total sont signés Jerry GOLDSMITH. Le son n’est pas mal tout de même (1965, ce n’est pas si vieux finalement…). Par contre, c’est vrai que les ré-enregistrements ont donné un coup de jeune aux “anciennes bandes originales”. Mais, mis à part GERHARDT, qui était vraiment exceptionnel, je trouve que l’on retrouve des problèmes de rythme et d’énergie bien souvent. Reprendre NORTH, WAXMAN, ROZSA, BERNSTEIN, BARRY et même GOLDSMITH et WILLIAMS, c’est vraiment pas simple manifestement pour les chefs d’orchestre, même chevronnés tels que David NEWMAN, Bruce BROUGHTON ,Joel Mc NEELY ou Nic RAINE. Exemple avec l'”Ivanhoé” repris par BROUGHTON. Le son est sans nul doute supérieur au mono de ROZSA mais l’interprétation n’en a ni la fougue ni l’énergie. Il suffit de comparer…Rejouer “les sept mercenaires” comme BERNSTEIN est un défi. Nic RAINE a fait de belles réussites chez TADLOW dans ses intégrales, nous en avons déjà parlé je crois. Maintenant, pour le sujet de “L’extase et l’Agonie”, il est question des provinces italiennes en guerre, d’un “Pape guerrier”, du processus difficile de la création même pour un génie, des rapports artiste-mécène de la Renaissance italienne,…J’ai trouvé tout cela très intéressant, avec une interprétation toujours excellente de Charlton HESTON et Rex HARRISON (des acteurs comme cela, on les cherche aujourd’hui…) et une réalisation classique (mais j’adore cela) et d’une beauté plastique (décors reconstitués, sans “fond vert”, costumes, couleurs…) qui me séduit toujours. Tu as raison, on a tendance à écouter (et à regarder) les mêmes genres de scores et de films…Mon “domaine d’e prédilection” est le cinéma français, américains et anglais de 1930 à 1995, je dirais…Mais il y a toujours des exceptions…Aujourd’hui, c’est triste à dire, mais il me semble que seul le cinéma asiatique a des choses originales à donner … Même s’il y a beaucoup de tri à faire !!! A te lire,
Disons que lors-ce qu’il s’agit de ce genre de sujet, je préfère la sensibilité musical Italienne tel que Bruno Nicolai a pu l’écrire sur ” Vita Di Michelangelo” que je possede en vinyle original et qui est sorti en CD et que je recherche actuellement, car le CD possede de la musique supplémentaire. https://www.youtube.com/watch?v=Iba6RhNrzcw Cette partition me touche plus que ce qu’a pu écrire North et Goldsmith si tu veux, tout simplement par ce que d’une part le sujet du film ne m’intéresse que très moyennement et que d’autre part le support “documentaire” qui inspire un compositeur tel que Nicolai, le laisse en total liberté d’inspiration , ce qui donne ” dans le cas présent” une musique a la fois poétique, inspiré et sans cahier des charges relative a des scenario de film, tu comprends ? J’ai une admiration sans borne pour Goldsmith et pour North, mais le sujet qu’ils abordent avec “L’Extase et l’agonie”, me laisse froid, me laisse a coté même…..c’est que j’ai une culture musical plus Italienne ou Européenne, qu’etat-unienne si tu préfère et ce genre de sujet mis en musique par des compositeurs Italiens, je les adores, ceci expliquant cela….. Pour ce qui est du Cinema Asiatique, je ne saurais te dire, je ne le connais pas bien, il faut dire que je ne m’intéresse plus guère au cinéma actuel , preferant me consacrer a l’écoute de la musique. Voila mon bon Laurent. A te lire.
Mon bon Diogène, C’est bien ce que j’avais compris à travers nos discussions et tes partages musicaux (ô combien précieux)…Cela ne nous empêche guère de confronter ces goûts différents et d’apprendre toujours…A te lire,
Nous n’avons pas besoin de les ” confronter ” mon bon Laurent, par contre de les appreciers pour ce qu’ils sont, l&, oui, je te rejoins totalement. A te lire.
Dear admin, could you find ” Bruno Nicolai: Vita Di Michelangelo” edition: KRONOS RECORDS?. this music is admirable in every way and I can’t find it. It would seem that this CD was edited in very few copies. If you could find that, that would be awesome! You never know, this title looks exhausted as soon as it is released. Thank you if you succeed and thank you anyway if you don’t.
Je sais que tu tiens au sens des mots. “Confronter” n’a rien de “guerrier”. Si je prends le Larousse : “Confronter = Comparer des choses pour déceler des ressemblances ou des différences : Confronter des textes, des points de vue.” et les apprécier pour ce qu’ils sont, tout à fait ! a te lire,
13 comments
Thank you so much, Diogène and Admin !
Voilà un retour très attendu…
Certes, mais pas pour tout le monde ! j’entends déjà les envolée de pucelle dans les dortoirs quand au retour du divin Marquis….lol
Les deux opus sont d’excellente facture, mais pour mon goût personnel le premier est un peu au dessus.
La piste ” Justine” sur cet opus, est un vrais petit bijou Schifrinien, on dirais du Morricone sans en être dans l’absolue, c’est du Schifrin…..
Enjoy !
a te lire.
Après une pochette à la “Orange Mécanique”, SCHIFRIN revient sur son sujet avec une pochette à la “wide eyes shut”…lol…Onn ‘a dit qu’on ne parlait plus de Kubrick…
En 1966, le 1er volet du “Marquis de Sade” est un pur chef-d’oeuvre.
Lalo SCHIFRIN va connaître avec les années 60 et 70 deux décennies où il il va illuminer la musique de films et les séries TV:. d’ailleurs, il connaitra 6 nominations aux Oscars entre 1967 et 1983, mais sans en obtenir un seul. Je cite mes préférés : “Les Félins” (1964) “Des agents très spéciaux” (1964) “La grande vallée” (1964), “Le Kid de Cincinnati” (1965), “Mission impossible” (1966), “Mannix” (1966-67) “Luke la main froide ” (1967) “Bullitt” (1968) “un shériff à New York” (1968) “de l’or pour les braves ” (1970) “L’inspecteur Harry ” (1971) “la colère de Dieu” (1972) “Opération Dragon” (1973) “Magnum Force” (1973)” la planète des singes TV” (1974) “Starsky et hutch” (1975)… Revenir avec une suite pour l’album solo du “Marquis de Sade” 35 ans plus tard est un défi risqué. Ses contributions pour le cinéma sont devenues bien rares dans les années 2000 (il est né en 1932) et Lalo SCHIFRIN préfère se consacrer aux concerts de ses oeuvres passées.
Alors, que penser de ce “return of the Marquis de Sade” ?
Certes, nous n’arrivons pas à la qualité exceptionnelle de 1966, mais c’est tout de même un sacré album ! Les titres 4, 5 et 6 auraient pu se trouver d’ailleurs sur le 1er volet tant le niveau est au rendez-vous. Une constatation : moins jazzy, plus contemporain, c’est sans doute là que cette suite “perd du terrain” par rapport à 1966. mais Lalo SCHIFRIN est bien toujours là ! Plutôt que le retour du Marquis de Sade (je pense d’ailleurs que la référence à Casanova “a night in Venezia” aurait été plus exacte…mais c’est du marketing), j’ai envie de dire “Lalo SCHIFRIN is back”. Et c’est tant mieux ! Un Grand Monsieur de la musique et du jazz en particulier. Merci énormément Diogène pour ces 2 albums d’anthologie.
Avec plaisir mon bon Laurent et tu a tout résumer, le premier Opus est une tuerie et le deuxième pèche legerement du fait de son aspect musical plus contemporain, ce qui n’enlève rien bien sur a sa qualité” musical.
Et quel plaisir de te lire mon bon Laurent, tu devrais faire cela plus souvent et en Anglais pour que tous le monde puisse en profiter pleinement, mais bon, celui qui est intéressé peux passer par un traducteur c’est sur.
D’ic le fin de la semaine, je préconise une session d’envoi un peu particulière et toujours avec un rapport filmique , cela va surement te surprendre, mais j’aime assez cela…J’espère que tu m’en diras des nouvelles ” en bien ou en mal” avec le même plume et honnêteté.
Je viens également de m’apercevoir que le titre ” Oceano” de Morricone , présent sur ce site, a été envoyer a admin par un autre fan du Maestro, ce qui signifie que admin ne le possède pas en FLAC. je vais donc le joindre a ma session d’envoi.
J’espère que tu n’a pas tenté de l’écouter en MP3 ? la curiosité et l’envi de savoir ayant été plus forte que mes recommandations. Je t’explique pourquoi sommairement : Oceano, c’est un type qui recherche une ile perdu sur l’océan pacifique, Morricone sur cet Opus a retranscris toute un univers musical en rapport a cette vie dans l’ile. Tout y est, un bon thème principal ” la déclinaison d’un thème de Il grande silenzio” et toutes une serie de plage qui retranscrive avec des instruments, ce qui se passe dans l’ile…c’est un doc sans parôle, juste le musique de Morricone pour accompagner notre misanthrope…Hululement de chouette ou de hibou, vent dans les arbres, retranscription de bruits d’animaux, d’oiseaux etc…le tout sur des rythmes originel. Lors ce que Edda Dell” Orso susurre ses mélopée dans le vent, tu sens la caresse de celui ci dans tes cheveux mon bon Laurent, mais pour cela, il faut découvrir ce score dans les meilleurs conditions possible, allongé sur son canapé, les yeux fermé et totalement paisible. Le voyage est fantastic ! donc, j’espère que tu n’a pas céder a la curiosité, elle est un vilain default. lol.
A te lire.
Mon bon Diogène,
J’ai sagement attendu le FLAC d'”Oceano”, pas de problème. Et j’ai hâte à présent de faire le voyage si bien décrit…
Ce soir, j’ai vu le film “L’Extase et l’agonie” avec Charlton HESTON et Rex HARRISON, sur la genèse de la création de la fresque de la Chapelle Sixtine. Très beau film. Et j’ai pensé à toi en écoutant la musique d’Alex NORTH (nommée aux Oscars à l’époque). Son registre, sujet oblige, est bien différent de “Spartacus” ou “Cléopâtre”. Je ne sais pas si tu vois de quoi je veux parler. Une grâce particulière, sacrée mais profane en même temps, sans dissonance aucune, et très apaisée. Plus sur l’Homme que sur Dieu. Cela te dit quelque chose ? Cela vaut le coup de ré-écouter cette B.O. si elle est un peu loin dans ton souvenir (mais tu dois l’avoir dans l’oreille, connaissant ton goût pour le répertoire de NORTH). Je compte bien y faire un tour demain…A te lire…
Oui , bien sur mon bon Laurent, Goldsmith a d’ailleurs écris quelques thèmes je crois sur cette partition, mais cela fait longtemps que je ne l’ai pas écouter. Ce n’est pas le genre de partition de North que j’affectionne particulièrement, même si j’aime bien de temps en temps me replonger dans ce genre d’épopée, mais j’ai mes moments et finalement je me suis aperçus que j’écoutais toujours la même chose…Pourquoi ? je n’en sais rien, mais je pense que les scores de cette époque ne sont écoutable pour moi que sous certaines conditions, il y a le sujet du film qui compte, le Score bien sur qui l’accompagne , mais aussi la qualité de l’enregistrement. Enfin, bref, il y a tout un tas de paramètres qui rentrent en ligne de compte pour que je me régale vraiment. Heureusement que Raine, Steiner, Gherardt et cie…sont parvenu jusqu’à moi lol….
A te lire.
Mon bon Diogène,
Le score est pourtant sur le site en édition deluxe avec FLAC ! Effectivement, le prologue et autres morceaux pour 12 mn au total sont signés Jerry GOLDSMITH. Le son n’est pas mal tout de même (1965, ce n’est pas si vieux finalement…). Par contre, c’est vrai que les ré-enregistrements ont donné un coup de jeune aux “anciennes bandes originales”. Mais, mis à part GERHARDT, qui était vraiment exceptionnel, je trouve que l’on retrouve des problèmes de rythme et d’énergie bien souvent. Reprendre NORTH, WAXMAN, ROZSA, BERNSTEIN, BARRY et même GOLDSMITH et WILLIAMS, c’est vraiment pas simple manifestement pour les chefs d’orchestre, même chevronnés tels que David NEWMAN, Bruce BROUGHTON ,Joel Mc NEELY ou Nic RAINE. Exemple avec l'”Ivanhoé” repris par BROUGHTON. Le son est sans nul doute supérieur au mono de ROZSA mais l’interprétation n’en a ni la fougue ni l’énergie. Il suffit de comparer…Rejouer “les sept mercenaires” comme BERNSTEIN est un défi. Nic RAINE a fait de belles réussites chez TADLOW dans ses intégrales, nous en avons déjà parlé je crois.
Maintenant, pour le sujet de “L’extase et l’Agonie”, il est question des provinces italiennes en guerre, d’un “Pape guerrier”, du processus difficile de la création même pour un génie, des rapports artiste-mécène de la Renaissance italienne,…J’ai trouvé tout cela très intéressant, avec une interprétation toujours excellente de Charlton HESTON et Rex HARRISON (des acteurs comme cela, on les cherche aujourd’hui…) et une réalisation classique (mais j’adore cela) et d’une beauté plastique (décors reconstitués, sans “fond vert”, costumes, couleurs…) qui me séduit toujours. Tu as raison, on a tendance à écouter (et à regarder) les mêmes genres de scores et de films…Mon “domaine d’e prédilection” est le cinéma français, américains et anglais de 1930 à 1995, je dirais…Mais il y a toujours des exceptions…Aujourd’hui, c’est triste à dire, mais il me semble que seul le cinéma asiatique a des choses originales à donner … Même s’il y a beaucoup de tri à faire !!! A te lire,
Disons que lors-ce qu’il s’agit de ce genre de sujet, je préfère la sensibilité musical Italienne tel que Bruno Nicolai a pu l’écrire sur ” Vita Di Michelangelo” que je possede en vinyle original et qui est sorti en CD et que je recherche actuellement, car le CD possede de la musique supplémentaire.
https://www.youtube.com/watch?v=Iba6RhNrzcw
Cette partition me touche plus que ce qu’a pu écrire North et Goldsmith si tu veux, tout simplement par ce que d’une part le sujet du film ne m’intéresse que très moyennement et que d’autre part le support “documentaire” qui inspire un compositeur tel que Nicolai, le laisse en total liberté d’inspiration , ce qui donne ” dans le cas présent” une musique a la fois poétique, inspiré et sans cahier des charges relative a des scenario de film, tu comprends ? J’ai une admiration sans borne pour Goldsmith et pour North, mais le sujet qu’ils abordent avec “L’Extase et l’agonie”, me laisse froid, me laisse a coté même…..c’est que j’ai une culture musical plus Italienne ou Européenne, qu’etat-unienne si tu préfère et ce genre de sujet mis en musique par des compositeurs Italiens, je les adores, ceci expliquant cela…..
Pour ce qui est du Cinema Asiatique, je ne saurais te dire, je ne le connais pas bien, il faut dire que je ne m’intéresse plus guère au cinéma actuel , preferant me consacrer a l’écoute de la musique.
Voila mon bon Laurent.
A te lire.
Mon bon Diogène,
C’est bien ce que j’avais compris à travers nos discussions et tes partages musicaux (ô combien précieux)…Cela ne nous empêche guère de confronter ces goûts différents et d’apprendre toujours…A te lire,
Nous n’avons pas besoin de les ” confronter ” mon bon Laurent, par contre de les appreciers pour ce qu’ils sont, l&, oui, je te rejoins totalement.
A te lire.
Dear admin, could you find ” Bruno Nicolai: Vita Di Michelangelo” edition: KRONOS RECORDS?. this music is admirable in every way and I can’t find it. It would seem that this CD was edited in very few copies. If you could find that, that would be awesome! You never know, this title looks exhausted as soon as it is released.
Thank you if you succeed and thank you anyway if you don’t.
Je sais que tu tiens au sens des mots. “Confronter” n’a rien de “guerrier”. Si je prends le Larousse : “Confronter = Comparer des choses pour déceler des ressemblances ou des différences : Confronter des textes, des points de vue.”
et les apprécier pour ce qu’ils sont, tout à fait ! a te lire,
Merci mon bon Laurent confronter n’étant pas une obligation unilatéral.
A te lire.
Thanks.