2.4K
Genre: Score
Date: 1995
Country: USA
Audio codec: MP3/FLAC
Quality: 320 kbs/lossless
Playtime: 49:47
1. Serene Family (04:11)
2. An Unusual Approach (07:07)
3. With Energy And Decision (02:07)
4. Virtual Reality (06:24)
5. Preparation And Victory (04:04)
6. Disclosure (00:49)
7. Sad Family (01:29)
8. Unemployed ! (01:10)
9. Sex And Computers (02:50)
10. Computers And Work (02:00)
11. Sex And Power (02:33)
12. First Passacaglia (04:21)
13. Second Passacaglia (01:41)
14. Third Passacaglia (04:33)
15. Sex, Power And Computers (04:23)
18 comments
Could you possibly re-up this? Thanks in advance. 🙂
Thank you very much for this!
Would you reupload this score please?
Hi Admin,
is it possible to add FLAC, please ?
Thank you at advance
Add FLAC Thanks to Chris
Thank you very much, Chris and Admin !
Bien l’bonjour mon bon Laurent !
Alors ! ; on s’attaque a la bête ?
A te lire….
Bien l’bonjour mon bon Diogène,
J’en suis déjà à “Demi Moore” de peur…lol…
Je m’y attaque ce soir…
le soir, t’es sur ?
Bien l’bonjour mon bon Diogène,
Eh bien, c’est fait ! Je me suis attaquée à la bête !!! Remarque : autant je serais favorable à un harcèlement par Demi MOORE, autant je refuserais les attaques d’Isabelle HUPPERT…lol…
Ennio MORRICONE livre effectivement un excellent score, vraiment, dans son registre “hors ITALIE”.
J’ai souvent pensé à” Frantic” mais surtout à “Peur sur la Ville”…
Le générique tout d’abord est magnifique et très intelligemment fait car il est à contre-courant de ce que sera le reste de la partition. Constatation plus joyeuse et sereine d’un point de départ où tout va bien. Et c’est très joliment fait, encore une fois. Ensuite, les 3 morceaux suivants ont effectivement leur place dans un film de “monstres”. On devine le serpent anaconda, les araignées, …Bref, la bête hostile est là et bien là ! La musique est forte. Le score va basculer dans un climat plus calme d’abattement puis de thriller plus traditionnel (mais traditionnel, avec MORRICONE, cela ne veut pas dire banal !). Bref, beaucoup de plaisir à suivre une musique très travaillée. je suis moins fan des 4 derniers morceaux (cela ne te surprendra pas) et j’aurais aimé un autre end credits, sur le ton de l’ouverture. Mais c’est pour faire celui qui chipote, comme d’habitude…lol…Merci encore pour cette belle découverte. Pourtant, j’ai vu le film au moins 2 fois, et c’est très curieux que je n’ai pas percuté davantage à l’époque. J’étais à “Demi” hypnotisé, c’est sûr…lol…A te lire,
BON SANG LAURENT ! Tu es sur que c’est Disclosure que tu a écouter ? ? ? ou as tu remarqué la dedans une similitude avec peur sur la ville ou Frantic ? ? lol…Enfin, ce n’est pas bien grave, après tout, chaquns ses ressentis et ses interprétations, aussi fantasque soit elles…..l’essentiel étant que tu es apprécier….
A te lire mon bon Laurent.
“Frantic”, Ok, ce n’est pas évident, mais “Peur sur la Ville”, je suis plus affirmatif “Bon sang, mais c’est bien sûr !”…lol…: reprends le titre 2. Je ne l’ai pas retouvé sur chaque morceau, bien sûr, mais également plus loin. Pas du “copier-coller”, mais une inspiration proche. Après, tu as peut-être raison, ce n’est qu’un ressenti. Mais cela ne retire rien au plaisir réel pris à l’écoute de cette B.O. de toute façon ! A te lire,
Mon bon Laurent, il n’y a vraiment aucunes conjecture d’écriture entre peur sur la ville et Disclosure, tu ressens les choses comme cela, mais il n’y a vraiment aucuns rapports, je t’assure…Si tu veux trouver un rapport vraiment réel avec Disclosure, c’est sur une autres trés grande réalisation Morriconienne de sa periode etats-unienne, que tu la trouvera de maniere évidente ” Wolf ”
https://www.youtube.com/watch?v=BKOIWTsnxDM
Pour peur sur la vile tu auras sensiblement la même chose sur plusieurs piste de”Copkiller” quasiment du copié collé même, je te laisse decouvrire cela par toi même ” c’est ta punition ! lol ”
a te lire mon bon Laurent.
Mon bon Diogène,
Je me souviens pourtant des battements de fond, de sons stridents, de violons oppressants comme dans mon souvenir du générique de “Peur sur la Ville”…Mais je m’incline devant le doctor ès Morricone. Ou c’est les oreilles, ou c’est la boisson, ou c’est l’âge…lol…Merci pour l’écoute de l’extrait de “Wolf”.
A te lire,
Les battements de fond ” comme tu dis ” sont des éléments dont Morricone se sers presque partout et même sur ses scores plus sucré mais d’une autre manière ” les battements du coeur humain ” je ne vais pas te mettre de lien , ils sont innombrable, mais lors-ce que tu ecoutera du Morricone garde en tête ce que je viens de te dire, Morricone prends ” presque toujours” pour tempo, les battements du coeur humain dans ses thématique, ” peur sur la ville en est un exemple quasi constant” je prends quand même un titre au hasard….
https://www.youtube.com/watch?v=TSChcu_uBo0
quand au violon strident, la aussi, cela est typique de l’ecriture Morriconienne sur moulte score …..
Oui, tu peux me faire confiance la dessus.
A te lire mon bon Laurent.
C’est noté, mon bon Diogène. Merci et à une prochaine bourde de ma part (au moins, tu t’amuses un peu, non ,°;;;LOL;;;)
Mais finalement, si j’ai les battements de coeur et les violons stridents dans “Peur sur la Ville” (où le phénomène est quand même porté à son paroxysme, non ?), même si cet usage est récurrent chez Morricone, j’avais un peu raison sur la tendance reconnue sur “Disclosure” dans le titre 2 ? (dixit le gars qui est irrécupérable…lol…). Tu sais, tu as de la santé et de la pugnacité pour supporter cela !!! A te lire,
ses éléments dont Morricone se sers a profusions dans d’innombrables scores font partie du fond de roulement de sa thématique, ensuite il superpose le theme a proprement parler et le style musical propre a la B.O, il lui arrive assez souvent, pour asseoir des effets hypnotisant d’avoir recours a des tecniques qui elles aussi reviennent de score en score et il s’en ai servis toutes sa vie ” le rolling piano” depuis le debut des années 70 jusqu”a la toute fin de sa période Americaine, ou le “rolling piano, cede la place au rolling synthé” ” mission to mars, Wolf, Disclosurs etc” cela fais partie de sa signature en tant que compositeur, ses tic et ses tocs si tu préfére, mais pour en revenir a peur sur la ville, il n’y a pas de similarité thématique, cela commence par du piano en tout premier plan ” pianoforte” je crois….ensuite Alessandroni siffle le debut, puis vienne les violons strident, ce sont les trois acteurs principaux du thème qui apparaisse un a un, pour ne former qu’un sur la même scène. Pour Disclosur, le theme ne se decline pas au piano, morricone souligne brutalement ou conforte au ” piano forte” sur une note seulement les coups d’archet de violon et de trompette, aprés ce dont tu parle toi, est une ecpece de similarité d’écriture lors-ce que Morricone met en scène musicalement l’action, le danger ou le suspense, mais cela est propre a tellement de score chez lui que……Bref, ce n’est pas ce que je retiens , mais je comprends ce que tu veux dire.ci dessous une des utilisations de ” rolling piano” dans les années 70, que tu peux comparer a celles de mission to mars, Wolf ou Disclosur ” rolling synthé ” Morricone utilise certaines technique bien a lui pour asseoir les atmospheres dans ses thématiques, mais ce ne sont pas a proprement parler des équivalences d’écritures thématique. le theme principal de peur sur la ville et de Disclosure de plus de 7 minutes, n’ont vraiment aucuns rapport thématique, ci ce n’est ce dont je viens de te parler, mais qui se retrouve partout ou presque chez lui, en tous cas dans pratiquement tous ses scores etats-uniens.
Voila, a te lire mon bon Laurent.
https://www.youtube.com/watch?v=sV_rRxyiW5c
C’est tout à fait clair et passionnant, comme d’habitude ! merci mon bon Diogène et vive MORRICONE !!!
A te lire,