Well, here’s a very rare item indeed. Not sure if it was ever released on CD, and only a very limited edition on vinyl. Not a soundtrack as such, but it’s Ennio Morricone and very much in the same vein as ” Dimensioni Sonore” with a little Edda del Orso added. This is one I’ve been waiting to get for some time now, and I am so delighted to finally hear it. Thank you so much Diogene, and Admin for this rare gem.
Quelle surprise ?! Je connais relativement bien l’oeuvre du Maestro. mais ceci, jamais entendu parler ! Un tout grand merci par avance pour la découverte, Diogène.
“Morricone et Nicolai ont créé un joyau rayonnant et interdit.”
*” LP Holy Grail 1972 Library d’avant-garde orchestral, de percussions abstraites et de génie du synthé analogique” lit-on pour la promotion du disque.
J’ai lu également les critiques enthousiastes ci-dessus. Tant pis s’il n’y a qu’une voix dissonnante dans ce déluge d’éloges : cette oeuvre du Maestro est vraiment réservée à un public averti, amateur de la musique expérimentale extrême, dont je ne fais pas partie. Et j’avoue ne pas avoir dépassé le 3ème morceau…C’est ça, la variété des goûts et de la musique. Et on peut aimer…ou pas du tout, sans se sentir être une bête curieuse inculte. MORRICONE adorait jouer avec tous les genres. Ce n’est pas là que je décèle son génie. L’important est qu’il se soit fait plaisir et que cela procure des sensations à d’autres…
Ohhhhhhhh , Bon sang ! Tu a larguer une grosse caisse ici mon bon Laurent ! Bien l’bonjour, pardon, j’en oubliais l’élémentaire bienséance….Fiiiou……il viens de m’arriver là…. Et oui, l’œuvre d’Ennio Morricone est assez vaste et Eclectique, c’est pourquoi Controfase, n’est pas un score, mais un album qui vient couronner tout le travail que le Maestro a effectué dans ses recherches sonores expérimentales des années 70 « avec Feed Back. Et ce n’est certes, pas a mettre entres toutes les oreilles, je te l’accorde. Lol. Mais savais tu que du temps ou Georges Brassens officiait dans la chanson Française pour lui donner toutes ses lettres de noblesse « sans faire trop de tintamarre médiatique » ils se trouvais de bonnes âmes, certainement fort charitable, qui ne voyait dans la musique de ce bon vieux georges, aucunes originalité et de la musique surfaite ? A l’époque, toutes ses bonnes âmes officiait dans les revus en vogue, comme Paris Match et autres et passait pour être des spécialistes en matière musical, sauf que, il ne s’étaient pas aperçus que Brassens composait du Jazz de très grande tenu, avec des accords de guitare que n’aurait pas renier Django Reinhardt et dont les grands standarts ont été d’ailleurs repris par Sidney Bechet . Jacques Brel avait déclaré a ce propos, qu’il ne suffisait pas d’avoir des oreilles de « lavabo » pour apprécier la musique de Brassens …Amusant non ? Et bien pour Morricone , c’est pareil, Controfase est un condensé de musique « savante « dans le pur style créatif Morriconien des années 70. Ce genre de partition rappel Oceano bien sur, mais une multitude d’autres scores qu’il a composé dans les années 70, y compris dans l’écriture musical du genre Giallo, dont il s’est rendu le maître incontesté. Et comme tu ne le sais sûrement pas, le genre Giallo mis en musique, c’est du Jazz désaccordé…..Donc ne t’étonne pas de lire des avis dithyrambique parmi les aficionados du Maestro Italien. As tu déjà écouter le fabuleux thèmes de prés de 12 minutes que Morricone a composer sur « un uomo da rispettare » ? Un thème comme celui là par exemple, ne peux pas avoir été écris sans les expérimentations Moriconnienne tel que Controfase et consorts…..
Quel plaisir de te retrouver tout d’abord. Ensuite, tu as bien compris qu’il y avait “un peu” de provocation de ma part…Il s’agissait effectivement de recherches d’expérimentations sonores typiques des années 70…Et les inconditionnels tant du Maestro que de ce type de “recherches” ont pu y trouver leur compte, bien évidemment !!! Il n’en demeure pas moins que je n’ai effectivement pas du tout apprécié les expérimentations savantes du Maestro…Tu le sais, en fait, cela n’est pas du tout mon oreille, c’est tout ! J’ai bien compris ta disgression avec Georges BRASSENS mais nous sommes à des années lumière de ce que nous proposait alors MORRICONE !!! BRASSENS avait une musique bien plus compliquée et avant-gardiste que l’on pouvait le lire à l’époque, d’accord, mais cela restait de la variété avec son équilibre et sa mélodie. Pas le Centre Beaubourg ou les colonnes de Burenne !!! BRASSENS était aussi grivois, casse-flic, anticonformiste…en plus d’être poète. Il cultivait son image d’ours mal léché et sa vie personnelle est très révélatrice de l’auteur. J’ai mis beaucoup plus de temps à apprécier son oeuvre, à la différence de BREL. A te lire,
plaisir partager mon bon Laurent ! et tu sais, colonne de burell ou pas quand tu a a faire a un con, c’est du pareil au même, les croyyes de rat et le chocolat pastille c’est du même tonneau pour eux ! t’inquiete…..et j’avais bien saisis ton sens de la provoc …lol Je viens de posté une serie de Scores a admin dont une oeuvre ” hors soundtrack ” que je te recommande d’ecouter a tête reposer…un petit bijoux, qui a figurer parmi mes LP de chevets pendant des années , en outre j’adore cet artiste ” dont je tais le nom momentanément” et dont je possede la dicographie complete…Tu m’en diras des nouvelles. Autrement j’ai ecouter le dernier Elfman et c’est toujours de tres grande tenu…Chose etonnante, j’ai été jusqu’au bout avec une réèl jubilation , mais il faudra que je réécoute plusieurs fois. j’ai vraiment beaucoup aimer l’ecriture des coeurs dans la composition de ce score, tantôt féminin, puis masculin qui s’alterne parfois et se repondent…de toutes beauté ! et même les pistes qui suivent l’action du film sont vraiment jouissive, je pense que c’est en partie dû au talent qu’a ce compositeur a inclure dans de courtes transitions musical, des sortes de mini themes a l’interieur, ce qui fait que l’homogenité de l’ensemble passe comme une lettre a la poste. Je te livre ici mes premieres impression bien sur…Ce qui m’a marquer également, c’est l’utilisation de la musique electronique dans cette partition, qui est particulierement soigné et recherché, savament dosé et qui a été mixer avec un grand soin, cela s’entend tout de suite et fais la difference de bien des scores actuel. Bien souvent, l’on entends toujours la même chose, dans un brouaba incomprehensible et trés mal mixé et là, Elfman a vraiment mis tout en oeuvre pour qu’une symbiose orchestral s’impose a l’oreille, vraiment, ce compositeur ne cesse de m’eblouir et son sens du merveilleux musical qu’in ne cesse de renouveller, me ceuille a chaque fois. As tu ecouter le Dick Tracy ?
Mon bon Diogène, J’ai pris le même plaisir à découvrir la nouvelle oeuvre (généreuse pour le moins) du Grand ELFMAN. Je partage totalement tes impressions et ressentis, même si l’utilisation de la musique électronique est peut-être aussi à mettre au crédit de GIACCHINO dans le volet précédent, qui n’a rien de honteux, bien au contraire. La qualité du mixage permet effectivement de profiter pleinement des envolées symphoniques et des choeurs. Et là, c’est vraiment bien fait. Pour Dick TRACY, j’ai adoré également. C’est quand tu en as parlé que j’ai pensé à demander le FLAC à Admin…En FLAC, Tonton Diogène, en FLAC…En tout cas, je m’éclate avec mon nouvel équipement ! ma carte sd de 512 est déjà presque pleine…Pour la fête des pères/anniversaire, j’ai commandé un “HiBy – R3 Pro Saber – Lecteur de musique portable avec double DAC “. je n’ai pas pu avoir ton avis préalable. J’espère que je n’ai pas fait un mauvais choix… A te lire…et avec la hâte de découvrir ce mystérieux nouveau compositeur…
je ne connais pas du tout ce materiel mon bon Laurent; mais tu sais, maintenant et surtout avec l’emergence de la concurrence Asiatique, tu obtiens d’excellente chose pour la moitié d’un prix ” normal ” j’ai du materiel nomade essentiellement Americains et je ne compte pas en changer de sitôt, mais il n’y a aucunes raison que ton matos ne fasse pas un excellent boulot.
LAURENTMay 23, 2022 - 10:16 am
Et puis ne te formalise pas sur ce que je peux dire. Comme tu le sais “le temps ne fait rien à l’affaire…”…lol
Merci quand même !!! Au fait, je suis indisponible tous les mercredis soirs…
diogeneMay 23, 2022 - 9:26 am
for those interested, Georges Brassens was one of our last contemporary poets in France, along with Jacques Brel and Leo Ferré. Georges Brassens was a big fat bear, very friendly and who composed very beautiful songs, often quirky, humorous, with an often ascerbic verb. a guy apart, who refused the French legion of honor. It is difficult to give an overview of the beauty of his language in translation, the poets are often badly translated in their most beautiful texts, but the link below will give you an idea. little idea of the humorous songs with a message, which he played to people in the media.
18 comments
Thank you very much, Diogène and Admin !
Well, here’s a very rare item indeed. Not sure if it was ever released on CD, and only a very limited edition on vinyl.
Not a soundtrack as such, but it’s Ennio Morricone and very much in the same vein as ” Dimensioni Sonore” with a little Edda del Orso added.
This is one I’ve been waiting to get for some time now, and I am so delighted to finally hear it.
Thank you so much Diogene, and Admin for this rare gem.
this is the vinyl edition that I ripped, Ennemore. It seems to me that a CD edition exists, but not on ….. good listening.
Great sound! Thanks again Diogene. You the man
Diogene, thank you very much.
Quelle surprise ?!
Je connais relativement bien l’oeuvre du Maestro. mais ceci, jamais entendu parler !
Un tout grand merci par avance pour la découverte, Diogène.
“Morricone et Nicolai ont créé un joyau rayonnant et interdit.”
*” LP Holy Grail 1972 Library d’avant-garde orchestral, de percussions abstraites et de génie du synthé analogique” lit-on pour la promotion du disque.
J’ai lu également les critiques enthousiastes ci-dessus. Tant pis s’il n’y a qu’une voix dissonnante dans ce déluge d’éloges : cette oeuvre du Maestro est vraiment réservée à un public averti, amateur de la musique expérimentale extrême, dont je ne fais pas partie. Et j’avoue ne pas avoir dépassé le 3ème morceau…C’est ça, la variété des goûts et de la musique. Et on peut aimer…ou pas du tout, sans se sentir être une bête curieuse inculte. MORRICONE adorait jouer avec tous les genres. Ce n’est pas là que je décèle son génie. L’important est qu’il se soit fait plaisir et que cela procure des sensations à d’autres…
Controfase ou contrefesses, pour ne pas dire “pied de nez” ?..lol…
Ohhhhhhhh , Bon sang ! Tu a larguer une grosse caisse ici mon bon Laurent ! Bien l’bonjour, pardon, j’en oubliais l’élémentaire bienséance….Fiiiou……il viens de m’arriver là…. Et oui, l’œuvre d’Ennio Morricone est assez vaste et Eclectique, c’est pourquoi Controfase, n’est pas un score, mais un album qui vient couronner tout le travail que le Maestro a effectué dans ses recherches sonores expérimentales des années 70 « avec Feed Back. Et ce n’est certes, pas a mettre entres toutes les oreilles, je te l’accorde. Lol. Mais savais tu que du temps ou Georges Brassens officiait dans la chanson Française pour lui donner toutes ses lettres de noblesse « sans faire trop de tintamarre médiatique » ils se trouvais de bonnes âmes, certainement fort charitable, qui ne voyait dans la musique de ce bon vieux georges, aucunes originalité et de la musique surfaite ? A l’époque, toutes ses bonnes âmes officiait dans les revus en vogue, comme Paris Match et autres et passait pour être des spécialistes en matière musical, sauf que, il ne s’étaient pas aperçus que Brassens composait du Jazz de très grande tenu, avec des accords de guitare que n’aurait pas renier Django Reinhardt et dont les grands standarts ont été d’ailleurs repris par Sidney Bechet . Jacques Brel avait déclaré a ce propos, qu’il ne suffisait pas d’avoir des oreilles de « lavabo » pour apprécier la musique de Brassens …Amusant non ? Et bien pour Morricone , c’est pareil, Controfase est un condensé de musique « savante « dans le pur style créatif Morriconien des années 70. Ce genre de partition rappel Oceano bien sur, mais une multitude d’autres scores qu’il a composé dans les années 70, y compris dans l’écriture musical du genre Giallo, dont il s’est rendu le maître incontesté. Et comme tu ne le sais sûrement pas, le genre Giallo mis en musique, c’est du Jazz désaccordé…..Donc ne t’étonne pas de lire des avis dithyrambique parmi les aficionados du Maestro Italien. As tu déjà écouter le fabuleux thèmes de prés de 12 minutes que Morricone a composer sur « un uomo da rispettare » ? Un thème comme celui là par exemple, ne peux pas avoir été écris sans les expérimentations Moriconnienne tel que Controfase et consorts…..
https://www.youtube.com/watch?v=XRmuHFCGgfo
A te lire mon bon Laurent.
Mon bon Diogène,
Quel plaisir de te retrouver tout d’abord.
Ensuite, tu as bien compris qu’il y avait “un peu” de provocation de ma part…Il s’agissait effectivement de recherches d’expérimentations sonores typiques des années 70…Et les inconditionnels tant du Maestro que de ce type de “recherches” ont pu y trouver leur compte, bien évidemment !!!
Il n’en demeure pas moins que je n’ai effectivement pas du tout apprécié les expérimentations savantes du Maestro…Tu le sais, en fait, cela n’est pas du tout mon oreille, c’est tout !
J’ai bien compris ta disgression avec Georges BRASSENS mais nous sommes à des années lumière de ce que nous proposait alors MORRICONE !!! BRASSENS avait une musique bien plus compliquée et avant-gardiste que l’on pouvait le lire à l’époque, d’accord, mais cela restait de la variété avec son équilibre et sa mélodie. Pas le Centre Beaubourg ou les colonnes de Burenne !!!
BRASSENS était aussi grivois, casse-flic, anticonformiste…en plus d’être poète. Il cultivait son image d’ours mal léché et sa vie personnelle est très révélatrice de l’auteur. J’ai mis beaucoup plus de temps à apprécier son oeuvre, à la différence de BREL. A te lire,
plaisir partager mon bon Laurent ! et tu sais, colonne de burell ou pas quand tu a a faire a un con, c’est du pareil au même, les croyyes de rat et le chocolat pastille c’est du même tonneau pour eux ! t’inquiete…..et j’avais bien saisis ton sens de la provoc …lol
Je viens de posté une serie de Scores a admin dont une oeuvre ” hors soundtrack ” que je te recommande d’ecouter a tête reposer…un petit bijoux, qui a figurer parmi mes LP de chevets pendant des années , en outre j’adore cet artiste ” dont je tais le nom momentanément” et dont je possede la dicographie complete…Tu m’en diras des nouvelles. Autrement j’ai ecouter le dernier Elfman et c’est toujours de tres grande tenu…Chose etonnante, j’ai été jusqu’au bout avec une réèl jubilation , mais il faudra que je réécoute plusieurs fois. j’ai vraiment beaucoup aimer l’ecriture des coeurs dans la composition de ce score, tantôt féminin, puis masculin qui s’alterne parfois et se repondent…de toutes beauté ! et même les pistes qui suivent l’action du film sont vraiment jouissive, je pense que c’est en partie dû au talent qu’a ce compositeur a inclure dans de courtes transitions musical, des sortes de mini themes a l’interieur, ce qui fait que l’homogenité de l’ensemble passe comme une lettre a la poste. Je te livre ici mes premieres impression bien sur…Ce qui m’a marquer également, c’est l’utilisation de la musique electronique dans cette partition, qui est particulierement soigné et recherché, savament dosé et qui a été mixer avec un grand soin, cela s’entend tout de suite et fais la difference de bien des scores actuel. Bien souvent, l’on entends toujours la même chose, dans un brouaba incomprehensible et trés mal mixé et là, Elfman a vraiment mis tout en oeuvre pour qu’une symbiose orchestral s’impose a l’oreille, vraiment, ce compositeur ne cesse de m’eblouir et son sens du merveilleux musical qu’in ne cesse de renouveller, me ceuille a chaque fois. As tu ecouter le Dick Tracy ?
Mon bon Diogène, J’ai pris le même plaisir à découvrir la nouvelle oeuvre (généreuse pour le moins) du Grand ELFMAN. Je partage totalement tes impressions et ressentis, même si l’utilisation de la musique électronique est peut-être aussi à mettre au crédit de GIACCHINO dans le volet précédent, qui n’a rien de honteux, bien au contraire. La qualité du mixage permet effectivement de profiter pleinement des envolées symphoniques et des choeurs. Et là, c’est vraiment bien fait.
Pour Dick TRACY, j’ai adoré également. C’est quand tu en as parlé que j’ai pensé à demander le FLAC à Admin…En FLAC, Tonton Diogène, en FLAC…En tout cas, je m’éclate avec mon nouvel équipement ! ma carte sd de 512 est déjà presque pleine…Pour la fête des pères/anniversaire, j’ai commandé un “HiBy – R3 Pro Saber – Lecteur de musique portable avec double DAC “. je n’ai pas pu avoir ton avis préalable. J’espère que je n’ai pas fait un mauvais choix… A te lire…et avec la hâte de découvrir ce mystérieux nouveau compositeur…
je ne connais pas du tout ce materiel mon bon Laurent; mais tu sais, maintenant et surtout avec l’emergence de la concurrence Asiatique, tu obtiens d’excellente chose pour la moitié d’un prix ” normal ” j’ai du materiel nomade essentiellement Americains et je ne compte pas en changer de sitôt, mais il n’y a aucunes raison que ton matos ne fasse pas un excellent boulot.
Et puis ne te formalise pas sur ce que je peux dire. Comme tu le sais “le temps ne fait rien à l’affaire…”…lol
certes, et je ne te le fais pas dire ! lol…..
Merci quand même !!! Au fait, je suis indisponible tous les mercredis soirs…
for those interested, Georges Brassens was one of our last contemporary poets in France, along with Jacques Brel and Leo Ferré. Georges Brassens was a big fat bear, very friendly and who composed very beautiful songs, often quirky, humorous, with an often ascerbic verb. a guy apart, who refused the French legion of honor. It is difficult to give an overview of the beauty of his language in translation, the poets are often badly translated in their most beautiful texts, but the link below will give you an idea. little idea of the humorous songs with a message, which he played to people in the media.
https://www.youtube.com/watch?v=RVKyzkNBqjQ
Thank you very much to diogene and Admin.