1.7K
Genre: Score
Date: 1992 (1976)
Country: Italy
Audio codec: MP3/FLAC
Quality: 320 kbs/lossless
Playtime: 29:12
01. Generique (01:12)
02. Boomerang (02:42)
03. Free (06:03)
04. Espoir (01:36)
05. Generique du fin (02:26)
06. Comme une ballade (03:41)
07. La lettre (01:20)
08. La visite (01:14)
09. Le casino Ruhl (03:34)
10. La rencontre (01:19)
11. La melancolie (03:59)
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8 comments
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Thank you.
Thank you very much for everything.
Have a nice day.
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Thank you Mandragora and Admin.
Je viens de revoir le film, qui est un “bon DELON”, malgré le fait qu’il n’ait pas marché au box-office.
Le thème de Georges DELERUE, très simple et touchant, accompagne idéalement cette histoire d’un père prèt à tout pour venir en aide à son fils, qui a abattu un policier dans un contexte de drogue.
Musique mélancolique à la DELERUE… Donc à ne pas manquer.
j’ai revu il y a peu deux homme dans la ville de Giovanni , avec la magnifique musique de philippe Sarde , dont je ne me lasse pas….etant jeune cette musique me trottait dans la tête , encore une composition indissociable du film qu’elle illustre…..
“2 hommes dans la ville” était la 1ère collaboration DELON-GIOVANNI. Un superbe film, avec une distribution formidable. Et moi aussi j’adore la musique de SARDE, qui remue à chaque fois qu’on l’écoute. Ensuite, dans la foulée “Le Gitan” (Claude BOLLING – Django REINHARDT : pas mal non plus) puis la 3éme et dernière “Comme un boomerang”.Je ne connaissais pas la musique de DELERUE pour “Comme un boomerang” (film méconnu, à mon sens injustement. Mais il faut aimer DELON -ce qui est mon cas) et elle produit un effet assez similaire à celle de “2 hommes dans la ville”.
En ce moment, je me fais une série “judiciaire” à l’ancienne avec les films d’André CAYATTE (Ancien Avocat) et de José GIOVANNI (Savais-tu qu’il avait été condamné à mort en 1948 pour extorsion de fonds et complicité d’assassinat, gracié puis libéré de prison en 1956 après onze ans d’incarcération ?).
Deux réalisateurs qui connaissaient leur sujet (même s’ils ont été des 2 côtés de la barrière) mais qui ont parfaitement réussi leur reconversion de cinéastes, . Mais comme c’était bien ficelé tout cela ! Et cela tient encore vraiment bien la route…A te lire,
Thank you very much..