1.2K

Genre: Score
Date: 2003
Country: Italy
Audio codec: WAV
Quality: lossless
Playtime: 34:08
Thanks to diogene
- Amore in salvo (4:17)
- Massaggi e spiaggia (3:21)
- Tante amiche del cuore (2:20)
- Ricerca dell’anima gemella (1:47)
- Nella casa di campagna (0:54)
- Donne sole al ristorante (2:25)
- Al cuore si comanda (1:58)
- Nuda allo specchio (1:35)
- Bussare alla sua porta (2:09)
- Sulla gru (2:04)
- Uniti per sempre (2:22)
- Guardando la luna (1:58)
- Primo ristorante (1:28)
- Secondo ristorante (1:15)
- Terzo ristorante (1:43)
- Amore in salvo (2:40)
16 comments
Thanks!!
Thank you very much to Admin and diogene! 🙂
Thank you so diogene! Cheers
Gracias por compartirla.
Appreciate the share Admin and diogene 🙂
Thank you very much 🙂
Thanks!
Thank you very much, Diogène (wellcome back !!!) and Admin !!!
Toujours intéressant d’assister à des passages de témoin entre père et fils/fille. Je viens d’écouter le “Bolero” de Peter Bernstein, arrangé et orchestre dirigé par Elmer BERNSTEIN. C’est la patte du père qui ressort de manière prépondérante (airs hispanisants ou mauresques façon “7 mercenaires” ou “10 commandements”, utilisation des Ondes Martenot, instrument très prisé par Elmer Bernstein dans les années 80 et dont le meilleur exemple reste “the black cauldron”. Pour cette collaboration made in MORRICONE, hâte d’écouter le résultat. Même s’il a dû être difficile à la fille de se distinguer du style paternel. Et puis dans ces co-compositions, toujours compliqué de savoir qui a composé quoi.
J’ignore totalement dans quelle mesure Andréa Morricone à participer a
la composition de ce score mon bon Laurent, nous somme ici en présence d’une partition Morriconienne pur jus dans la toute droite lignée de « un difetto di famiglia » et « tutte le donne de la mia vita »a tel point que j’ai compilé ses trois scores en une seule et même partition pour mon plus grand plaisir.
Un Morricone frais, léger, espiègle même ! Avec de nombreux clins d’oeils a d’anciennes compositions de Maestro des années 70 tel que « Eat It » ou « Metti Una Sera A Cena », des petites portions de score déjà existant et réutilisé , décliné et formidablement bien arrangé .
Bref ! Du Morricone pur jus, que cela sois dans la composition du score comme dans la façon de réutilisé du vieux pour faire du neuf.
Inutile de bouder son plaisir a l’écoute de ce petit score Morriconien d’autant que, même si nous sommes ici en présence d’un score mineur du Maestro, l’époque de pauvreté musical « Notamment mélodique et harmonique » actuel,nous invite très naturellement a remettre la main dans le sachet de bonbons.
Mon bon Diogène, J’évite les sachets de bonbons, étant diabétique (lol) mais il est clair que cela se savoure comme une friandise. Pour la collaboration de la fille de Morricone (qui ne se départit pas du style du Maestro, c’est vrai), il me semble que l’on pourrait l’identifier sur les titres 2, 6, 8 et 12. Je m’avance sans doute mais les arrangements et les sonorités marginales de ces morceaux me semblent moins familières pour Ennio. Et puis, choisir des morceaux paires pour composer une B.O. avec son père (lol), ce serait aussi de l’espièglerie, non ?
Bien l’bonjour mon bon Laurent ! j’ignorais que la Fille Morricone avait participer a ce score , tu me l’apprends …..Et tu as l’oreille monté sur rotule en 3D, par ce que , pour ma part et comme je l’ai signifié un peu plus haut, je n’ai vraiment pas réussis a trouver une différence de composition et même d’orchestration avec ce que Morricone avais l’habitude de pondre a cette époque là , on est vraiment dans la droite lignée des deux scores cités précédemment et je rajouterais même ” piazza di spagna” pour faire bonne mesure. A te lire My Good Laurent.
@Diogène
Si le Maestro a mis le nom de sa fille en co-compositeur au générique (et sur la pochette de l’album), je ne pense pas que ce soit pour les cappucinos. Sacha GUITRY disait : “Les uns pensent que le génie est héréditaire…Les autres n’ont pas d’enfants !!!”. Ennio n’ pas pu échapper à la règle. La collaboration de sa fille sur l’album a forcément été pour lui une fierté (et une façon de la propulser sur la liste des compositeurs à recommander…Quelle meilleure caution artistique que la sienne ? Et dans ce cadre, il l’a fait travailler, c’est certain…Mais où ? Les pistes que j’ai proposées sont instinctives et relèvent effectivement de l’oreille toujours subjective. Je connais bien évidemment moins bien que toi l’oeuvre et le style de MORRICONe (c’est un euphémisme). La curiosité sur le sujet m’a fait écouter cette B.O. sous forme de jeu : Où se cache le travail d’Andrea ? Elle s’est mise forcément dans les pas du père mais, sur ces pistes 2-6-8-12, j’ai ressenti un fond différent, que n’aurait pas forcément retenu le Maestro. Alors, oui, je délire peut-être, mais je ne peux m’expliquer davantage sur mon ressenti.
Pour la B.O. de Federico Jusid, je reconnais bien ton univers de prédilection, avec choeurs et musique mystique (sans péjoratif). C’est effectivement une belle découverte. As-tu demandé à Admin ? Bien à toi,
@Laurent, elle est venus apporter les cappuccino ou quoi ? tu es avare en informations mon bon Laurent. Donne moi des nouvelles, ne me laisse pas comme ça…Lol.
Tu a écouter cela mon bon Laurent ? :
https://www.youtube.com/watch?v=mHX-W4Wjnks
Federico Jusid , impossible de le trouver en CD celui là , j’y suis depuis deux mois…..
Mon Bon Laurent LooooooL…… Andrea Morricone est né mâle , c’est un garçon . Morricone , de ce que l’on sait a 3 Fils et une fille qui se nomme Alessandra, qui ne fais pas partie de cet album ou bien comme je te l’ai signifier plus haut, peut-être a t’elle inter- réagit en studio d’enregistrement pour apporter les cannoli pour accompagner le cappuccino, mais c’est a peu prés tout . Pour ce qui concerne ton ressenti, tu a une page consacré a la musique d’Andréa Morricone sur ce site avec quelques scores, tu devrais, ” a mon humble avis” aller y jeter une oreille et revenir ici si tu le souhaite pour me parler de cette fameuse patte qu’Andréa Morricone aurais mis sur ce score . Je veux bien a la limite, qu’il est été déterré le main title de “Eat It ” comme point de départ d’une nouvelle variation, mais ce genre d’opération est purement Morriconienne . Je ne sais vraiment pas de quoi tu parle mon bon Laurent, mais puis-ce qu’il s’agit de ressenti, je ne vais pas aller plus loin la dessus, par ce que, a l’instar de Morricone père, Allessandra ne viendra pas m’apporter un café avec le Tiramisu qui va bien pour me détendre un peu….LOL
Je vais tenter de me faire bien comprendre mon bon Laurent, Andréa Morricone bien qu’étant le fils du Maestro ne possède hélas pas une singularité artistique significative qui le démarquerait de son illustre père ou qui le démarque tout court de ses coreligionnaire actuel.
Il suffit d’écouter les quelques scores qu’il a son actif pour s’en apercevoir très rapidement.
Que le Maestro est voulu mettre le pied a l’étrier de son fils pour qu’il devienne lui aussi un grand compositeur de musique de film est tout a fait compréhensible et « normal », mais pour faire du Morricone il ne suffit pas de se prénommer Andréa, sinon, crois moi bien que depuis la mort du Maestro, tous les fans d’Ennio Morricone a travers le monde célébrerait l’avènement du fils prodigue d’une seule et même voix !
Et c’est très loin d’être le cas.
il existe actuellement des compositeurs qui peuvent prétendre à une éventuel filiation artistique avec Ennio Morricone en Italie et ailleurs, je pense a Nuno Malo « Amalia, The celestine prophecy ou encore Miel de Naranjas » Paolo Buonvino ou en encore Federico Jusid « El Verano Que Vvimos », mais pas Andréa Morricone en tous cas, pas de manière réellement significative au jour d’aujourd’hui.
Et je te dirais même que collaboré avec un compositeur de la trempe de Ennio Morricone en tant que, fils de…n’est pas du tout un cadeau pour un jeune compositeur, il faut pouvoir en imposer dans un cas pareil et pour en imposer a Morricone père, il faut être un maître mon bon Laurent.
C’est pourquoi le travail qui a été effectué sur ce score est purement Morriconien avec de nombreuse référence a d’ancien titre comme « Eat It » par le motif du Main Title, puis plus tard dans une variation d’une section de musique présente dans le Main Title de « Metti Una Sera A Sena », des variations également tiré des scores « un difetto di famiglia » et « tutte le donne de la mia vita », nous sommes ici dans exactement la même veine d’écriture.
Et ce processus de variation mélodique sur des thèmes déjà composer par le passé par Morricone lui-même et transposer sur un nouveau score pour faire du neuf avec du vieux, n’est pas une nouveauté chez Morricone, tout au long de sa carrière il s’est servis de cette opportunité qui est lié a sa productivité acharné de composition durant toute sa carrière.
Andréa Morricone n’y est pour rien la dedans, peut-être a-t-il été orchestrateur ? C’est tout a fait possible, pour le reste, je n’y vois rien d’autre qu’un score du Maestro.