@Diogène Mon bon Diogène, J’avais demandé cette B.O. à Admin. Super…J’ai adoré le film et la musique est vraiment en totale adéquation avec cette unique réalisation de notre regretté Bernard GIRAUDEAU. Des instruments locaux rares à entendre. De la nostalgie et de l’émotion. Des voix prenantes. Si tu ne la connais pas, je te conseille une écoute…A te lire,
merci mon bon Laurent , j’en prends bonne note , je vais la telecharger et l’ecouter en fin de semaine prochaine maintenant , et oui ! le travail reprends….. par contre, si tu a du temps , j’aimerais bien que tu me donne ton avis eclairé sur la partition ” Hundra ” de Morricone . Voila un score qui a toujours eu une reconnaissance assez moyenne de la part de l’ensemble de la communauté béophile comme chez les profanes d’ailleurs , alors que moi , je lui trouve des qualités bien superieur a ” red sonja ” . j’en appel donc a ta science pour me dire ce qu’il en est de ton point de vu, qui est toujours de grand interêt a mes yeux , puis-ce que souvent en adequation avec mes ressentis.
Pour” les caprices d’un fleuve”, si tu n’as pas vu le film, il est important de connaître le sujet pour apprécier pleinement la B.O. : 1787 . Parce qu’il a tué en duel un ami du roi Louis XVI, Jean-François de La Plaine est exilé dans un minuscule comptoir africain au Sénégal, dont il est nommé gouverneur. Plutôt libre-penseur, il se résigne à son sort, essayant d’adoucir sa solitude au moyen de son épinette . Très loin, en France, éclate la Révolution, tandis qu’il découvre les multiples facettes de l’Afrique et de l’esclavage, l’amour de la jeune Amélie (une jeune esclave peule qui lui a été offerte) et la richesse de la différence. Richard BOHRINGER (un amoureux de l’Afrique comme tu le sais) faisait également partie de la distribution et était épatant, comme GIRAUDEAU…Le rythme est nonchalant (mais jamais ennuyeux), sous la chaleur locale, les images sont superbes et l’émotion au rendez-vous. Le tout enrichi par l’exotisme de la musique de René-Marc BINI. Cela avait été mon coup de coeur français de 1996.
Merci mon bon Laurent pour se résumé . Il est vrais qu’il est parfois important ” pour certains scores ” de planter le décor, lors ce que l’on a pas vu le film. je ne manquerais pas de venir me répandre ici pour te dire tout le mal que j’en ai penser bien sur ….lol
Salut mon bon Laurent, finalement je n’ai pas résisté et effectivement c’est un très, très , beau score, qui a une approche dans ses transitions de rythme africain vers la musique classique des plus surprenante, mais oh combien réjouissante.
Pour tout te dire j’ai adoré tous les thèmes du score y compris chanté « c’est ce qui me faisait le plus peur » mais finalement, cette façon qu’a ce compositeur a incorporer cette musique africaine dans sa partition m’a conquis, vraiment un très beau score, atypique, original, tout en douceur et en subtilité, les notes sont posé délicatement, les thématiques prennent leurs temps pour asseoir leurs univers particulier avec ses bruissements d’eau en arrière plans sonore.
J’apprécie particulièrement ce genre de score qui n’en rajoute pas dans le superflu pour laisser place a la simplicité, la beauté des timbres des instruments de musique africain au service des thèmes du compositeur. Bref, je vais sûrement le réécouté, car j’apprécie beaucoup toutes les musique qui tourne autour de la thématique de l’eau et celui là est un must !
J’ai un score pour toi que tu ne connais sans doute pas, mais qui développe beaucoup de thématique apaisé et reposante sur le thème de l’eau « ou pas loin « dans l’esprit du moins, mais sans la consonance coloré africanisante .
C’est « l’Isola » de Morricone , je te le conseil vivement , c’est par contre un peu plus lourd a digéré puis-ce que « de mémoire « il y a deux heures de music , mais les thèmes sont tellement riche et varié que cela passe très bien .
J’ai vu que tu avais demander a admin le flac de « flesh and blood « , relance le dans la semaine , s’il ne l’a pas , je l’incorporerais dans ma prochaine session d’envois , fin de semaine prochaine .
Encore merci mon bon Laurent pour cette belle découverte.
Mon bon Diogène, Je n’avais pas vu passer ton post et tu as bien fait d’attirer mon attention. J’avais un peu peur de te diriger vers l’écoute de ce score, qui sort effectivement des sentiers battus. Tu rends parfaitement justice au travail et à l’atmosphère voulue par le compositeur, avec cet étonnant mélange musique française XVIII-musique africaine. C’est pourquoi je voulais te donner le sujet du film…Bravo ! J’ai été et je suis toujours sous le charme de la chanson principale “sama yoon”, qui est une petite perle selon moi (tant au niveau de la voix que des instruments). Et effectivement ces bruissements d’eau puisque l’action se déroule au bord de la mer (puis dans le désert). Cette thématique apaisante et reposante que tu as fort justement relevée symbolise au départ l’ennui de l’aristocrate exilé dans ce tout petit comptoir du SENEGAL, puis la sérénité d’une Afrique acceptée et aimée par le personnage principal (et notamment à travers cette esclave, dont il aura un enfant). Cette rencontre avec la musique est vraiment due à la vision du film pour moi, que j’ai adoré, car je ne suis pas particulièrement attiré habituellement par ce genre de score. Pour moi aussi, cela a été une véritable découverte, et je suis ravi que tu en ais retiré également un plaisir d’écoute. Maintenant, je vais bien évidemment me jeter sur l'”isola” de MORRICONE, dont je te livrerai sans doute mes mauvaises impressions…lol…
la composition de Morricone sur ” l’Isola ” n’a rien d’africanisante mon bon Laurent , mais de bien beaux themes , riche , variés avec tout un panel de thématique dont Morricone s’est servis sur d’autres score par la suite a commencer par le thème principal, dont il s’est resservis sur Missus cette fois ci superbement décliné a grand renfort de cuivre pour tonner l’action….
Mais il me faut te dire mon bon Laurent que j’affectionne particulièrement lors ce que Morricone se laisse aller dans la trompette ! aller cherie joue moi en……lol …
En attendant “l’isola”, j’ai bien profité du thème d”Aida degli alberi”, avec effectivement ces trompettes “à la MORRICONE”. On dirait le nom d’une sauce, mais elle prend toujours…lol…J’ai téléchargé pour le coup cette B.O. qui, comme par hasard pour un amoureux d’opéra italien s’appelle “Aida”…Merci , mon bon Diogène, pour ces 2 nouvelles références du Maestro. Joli programme en perspective pour demain…
” aida degli alberi ” , est une petite pépite du Maestro Italien , bien plus que pourrais l’être ” l’isola ” , je reviens souvent sur cette partition , Notamment avec ce thème ” Foresta incantata ‘ qui illustre la Forêt en train de se réveiller avec le cris des oiseaux , que Morricone a composer uniquement avec un orchestre classic , sans synthé ou autres artifices, le tout sur une mélodie tellement délicate , que l’enfance , l’inclinaison a la tendresse, monte aux yeux……
Cet homme me manque mon bon Laurent , rien que pour les themes qu’il savais composer comme celui là , il y a chez Morricone , dans ses melodies , quelque-chose qui rappel a l’enfance….une excellente partition . Rien a jeter…..
14 comments
Thank you very much, Admin !!!
@Diogène
Mon bon Diogène, J’avais demandé cette B.O. à Admin. Super…J’ai adoré le film et la musique est vraiment en totale adéquation avec cette unique réalisation de notre regretté Bernard GIRAUDEAU. Des instruments locaux rares à entendre. De la nostalgie et de l’émotion. Des voix prenantes. Si tu ne la connais pas, je te conseille une écoute…A te lire,
merci mon bon Laurent , j’en prends bonne note , je vais la telecharger et l’ecouter en fin de semaine prochaine maintenant , et oui ! le travail reprends…..
par contre, si tu a du temps , j’aimerais bien que tu me donne ton avis eclairé sur la partition ” Hundra ” de Morricone .
Voila un score qui a toujours eu une reconnaissance assez moyenne de la part de l’ensemble de la communauté béophile comme chez les profanes d’ailleurs , alors que moi , je lui trouve des qualités bien superieur a ” red sonja ” .
j’en appel donc a ta science pour me dire ce qu’il en est de ton point de vu, qui est toujours de grand interêt a mes yeux , puis-ce que souvent en adequation avec mes ressentis.
a te lire mon bon Laurent.
A
Mon bon Diogène, Je mets “Hundra” au-dessus de la pile…lol…Bon courage pour la reprise. A te lire,
Pour” les caprices d’un fleuve”, si tu n’as pas vu le film, il est important de connaître le sujet pour apprécier pleinement la B.O. :
1787 . Parce qu’il a tué en duel un ami du roi Louis XVI, Jean-François de La Plaine est exilé dans un minuscule comptoir africain au Sénégal, dont il est nommé gouverneur. Plutôt libre-penseur, il se résigne à son sort, essayant d’adoucir sa solitude au moyen de son épinette . Très loin, en France, éclate la Révolution, tandis qu’il découvre les multiples facettes de l’Afrique et de l’esclavage, l’amour de la jeune Amélie (une jeune esclave peule qui lui a été offerte) et la richesse de la différence. Richard BOHRINGER (un amoureux de l’Afrique comme tu le sais) faisait également partie de la distribution et était épatant, comme GIRAUDEAU…Le rythme est nonchalant (mais jamais ennuyeux), sous la chaleur locale, les images sont superbes et l’émotion au rendez-vous. Le tout enrichi par l’exotisme de la musique de René-Marc BINI. Cela avait été mon coup de coeur français de 1996.
Merci mon bon Laurent pour se résumé . Il est vrais qu’il est parfois important ” pour certains scores ” de planter le décor, lors ce que l’on a pas vu le film.
je ne manquerais pas de venir me répandre ici pour te dire tout le mal que j’en ai penser bien sur ….lol
Mais je n’attends que ton fiel sur le miel…lol
Thank you very much admin.
Salut mon bon Laurent, finalement je n’ai pas résisté et effectivement c’est un très, très , beau score, qui a une approche dans ses transitions de rythme africain vers la musique classique des plus surprenante, mais oh combien réjouissante.
Pour tout te dire j’ai adoré tous les thèmes du score y compris chanté « c’est ce qui me faisait le plus peur » mais finalement, cette façon qu’a ce compositeur a incorporer cette musique africaine dans sa partition m’a conquis, vraiment un très beau score, atypique, original, tout en douceur et en subtilité, les notes sont posé délicatement, les thématiques prennent leurs temps pour asseoir leurs univers particulier avec ses bruissements d’eau en arrière plans sonore.
J’apprécie particulièrement ce genre de score qui n’en rajoute pas dans le superflu pour laisser place a la simplicité, la beauté des timbres des instruments de musique africain au service des thèmes du compositeur. Bref, je vais sûrement le réécouté, car j’apprécie beaucoup toutes les musique qui tourne autour de la thématique de l’eau et celui là est un must !
J’ai un score pour toi que tu ne connais sans doute pas, mais qui développe beaucoup de thématique apaisé et reposante sur le thème de l’eau « ou pas loin « dans l’esprit du moins, mais sans la consonance coloré africanisante .
C’est « l’Isola » de Morricone , je te le conseil vivement , c’est par contre un peu plus lourd a digéré puis-ce que « de mémoire « il y a deux heures de music , mais les thèmes sont tellement riche et varié que cela passe très bien .
J’ai vu que tu avais demander a admin le flac de « flesh and blood « , relance le dans la semaine , s’il ne l’a pas , je l’incorporerais dans ma prochaine session d’envois , fin de semaine prochaine .
Encore merci mon bon Laurent pour cette belle découverte.
Mon bon Diogène, Je n’avais pas vu passer ton post et tu as bien fait d’attirer mon attention.
J’avais un peu peur de te diriger vers l’écoute de ce score, qui sort effectivement des sentiers battus.
Tu rends parfaitement justice au travail et à l’atmosphère voulue par le compositeur, avec cet étonnant mélange musique française XVIII-musique africaine. C’est pourquoi je voulais te donner le sujet du film…Bravo !
J’ai été et je suis toujours sous le charme de la chanson principale “sama yoon”, qui est une petite perle selon moi (tant au niveau de la voix que des instruments). Et effectivement ces bruissements d’eau puisque l’action se déroule au bord de la mer (puis dans le désert). Cette thématique apaisante et reposante que tu as fort justement relevée symbolise au départ l’ennui de l’aristocrate exilé dans ce tout petit comptoir du SENEGAL, puis la sérénité d’une Afrique acceptée et aimée par le personnage principal (et notamment à travers cette esclave, dont il aura un enfant). Cette rencontre avec la musique est vraiment due à la vision du film pour moi, que j’ai adoré, car je ne suis pas particulièrement attiré habituellement par ce genre de score. Pour moi aussi, cela a été une véritable découverte, et je suis ravi que tu en ais retiré également un plaisir d’écoute.
Maintenant, je vais bien évidemment me jeter sur l'”isola” de MORRICONE, dont je te livrerai sans doute mes mauvaises impressions…lol…
2h17, effectivement, de musique pour “l’isola”…
la composition de Morricone sur ” l’Isola ” n’a rien d’africanisante mon bon Laurent , mais de bien beaux themes , riche , variés avec tout un panel de thématique dont Morricone s’est servis sur d’autres score par la suite a commencer par le thème principal, dont il s’est resservis sur Missus cette fois ci superbement décliné a grand renfort de cuivre pour tonner l’action….
Mais il me faut te dire mon bon Laurent que j’affectionne particulièrement lors ce que Morricone se laisse aller dans la trompette ! aller cherie joue moi en……lol …
https://www.youtube.com/watch?v=46EOLEVKtWM
En attendant “l’isola”, j’ai bien profité du thème d”Aida degli alberi”, avec effectivement ces trompettes “à la MORRICONE”. On dirait le nom d’une sauce, mais elle prend toujours…lol…J’ai téléchargé pour le coup cette B.O. qui, comme par hasard pour un amoureux d’opéra italien s’appelle “Aida”…Merci , mon bon Diogène, pour ces 2 nouvelles références du Maestro. Joli programme en perspective pour demain…
bien l’bonjour mon bon Laurent !
” aida degli alberi ” , est une petite pépite du Maestro Italien , bien plus que pourrais l’être ” l’isola ” , je reviens souvent sur cette partition , Notamment avec ce thème ” Foresta incantata ‘ qui illustre la Forêt en train de se réveiller avec le cris des oiseaux , que Morricone a composer uniquement avec un orchestre classic , sans synthé ou autres artifices, le tout sur une mélodie tellement délicate , que l’enfance , l’inclinaison a la tendresse, monte aux yeux……
Cet homme me manque mon bon Laurent , rien que pour les themes qu’il savais composer comme celui là , il y a chez Morricone , dans ses melodies , quelque-chose qui rappel a l’enfance….une excellente partition . Rien a jeter…..
https://www.youtube.com/watch?v=kAH4h1rAi_A
Hello,
Please, could you have :
– Robinson & Cie (René-Marc Bini) – 1991
– Cuisine Américaine (René-Marc Bini) – 1998
– Liberté Oléron – Grosse fatigue (René-Marc Bini) – (2001 – 1994) 2017