1. I Promessi Sposi (3:25) 2. La Monaca Di Monza (3:21) 3. Fra’ Cristoforo E Il Pane Del Perdono (3:14) 4. Gertrude (4:07) 5. L’Azzeccagarbugli (2:50) 6. I Lanzichenecchi (2:26) 7. La Rivolta Del Pane (5:43) 8. Violenza E Saccheggio (3:11) 9. Addio Monti (3:42) 10. Fuga Di Renzo (1:34) 11. La Monaca Di Monza (3:11) 12. Lovati (1:08) 13. La Notte Dell’Innominato (3:08) 14. Arrivo Dei Lanzi (2:20) 15. A Lucia (2:34) 16. Don Abbondio (3:56) 17. La Peste (4:53) 18. Finale (1:31)
I own both vinyl and CD editions. The vinyl edition presented here is of a much higher quality than the CD edition. despite the creaks which are really anecdotal compared to the quality of this music and the vinyl pressing. fans of “vinyl” sound will appreciate ….
Quelle belle réussite du Maestro ! Ici, MORRICONE ne s’attache à créer un “super thème” qu’il va décliner à l’infini, comme il l’a souvent fait (sans que cela ne soit jamais ennuyeux pour autant, hâtons-nous de le préciser !) mais prend chaque morceau de manière indépendante (ou presque), qu’il modèle avec le talent qu’on lui connait. On est pris dès les premières secondes par ces voix a cappella, dont il a une maîtrise parfaite. L’album commence sur des titres à la nostalgie magnifique. Toujours de la sensibilité chez MORRICONE, jamais de sensiblerie…A partir de la piste 6, la tension apparaît : une marche (exercice de style de pédilection du Maestro – J’adore “la marche en ré” de”Espion, lève-toi”…), puis un morceau “héroïque” superbe “la rivolta del pane”, les conséquences dramatiques de ce qui précède, manifestement, avec “violenza e saccheggio”, titre qui parle de lui-même. Retour au calme après la tempête, reprise de “la monaca di monza” (peut-être mon morceau préféré), “lovati” très émouvant, “a lucia” remet en valeur les voix avec subtilité et savoir-faire. “Don abbondio” est plus surprenant et dénote un peu avec le reste, tout en restant 100% morriconien, “la peste” pourrait évoquer la peste noire du Moyen-Age, où les voix féminines et masculines se répondent et s’entremêlent et c’est très réussi également. et le “finale”, magnifique, qui reprend le début, mais très (trop) court. car on ne voudrait jamais sortir de cette B.O. particulièrement soignée et variée. merci beaucoup Diogène pour cette rareté. Et c’est vrai que l’on reconnaît le son vinyl, avec sans doute quelques (rares) craquements mais une sonorité qui nous rappelle tout un univers…
Oui, c’est une partition magnifique ” ecrite pour la telefilm” c’est un score du maestro qui figure dans mon top ten. j’y reviens souvent, mais j’ai mes moments…..Comme quand tu veux déguster une bonne bouteille de vin millésimé. Heureux que tu ai apprécier, mais j’étais sur de mon coup sur cette partition la. A te lire mon bon Laurent.
9 comments
thanks
Gracias por compartirla.
Thank you
Thank you very much!
Thank you very much Admin.!!
Sadly it is an LP rip with crackle and pops. The enclosed front and back cover of the CD are misleading.
I own both vinyl and CD editions. The vinyl edition presented here is of a much higher quality than the CD edition. despite the creaks which are really anecdotal compared to the quality of this music and the vinyl pressing. fans of “vinyl” sound will appreciate ….
Quelle belle réussite du Maestro !
Ici, MORRICONE ne s’attache à créer un “super thème” qu’il va décliner à l’infini, comme il l’a souvent fait (sans que cela ne soit jamais ennuyeux pour autant, hâtons-nous de le préciser !) mais prend chaque morceau de manière indépendante (ou presque), qu’il modèle avec le talent qu’on lui connait.
On est pris dès les premières secondes par ces voix a cappella, dont il a une maîtrise parfaite. L’album commence sur des titres à la nostalgie magnifique. Toujours de la sensibilité chez MORRICONE, jamais de sensiblerie…A partir de la piste 6, la tension apparaît : une marche (exercice de style de pédilection du Maestro – J’adore “la marche en ré” de”Espion, lève-toi”…), puis un morceau “héroïque” superbe “la rivolta del pane”, les conséquences dramatiques de ce qui précède, manifestement, avec “violenza e saccheggio”, titre qui parle de lui-même. Retour au calme après la tempête, reprise de “la monaca di monza” (peut-être mon morceau préféré), “lovati” très émouvant, “a lucia” remet en valeur les voix avec subtilité et savoir-faire. “Don abbondio” est plus surprenant et dénote un peu avec le reste, tout en restant 100% morriconien, “la peste” pourrait évoquer la peste noire du Moyen-Age, où les voix féminines et masculines se répondent et s’entremêlent et c’est très réussi également. et le “finale”, magnifique, qui reprend le début, mais très (trop) court. car on ne voudrait jamais sortir de cette B.O. particulièrement soignée et variée. merci beaucoup Diogène pour cette rareté. Et c’est vrai que l’on reconnaît le son vinyl, avec sans doute quelques (rares) craquements mais une sonorité qui nous rappelle tout un univers…
Oui, c’est une partition magnifique ” ecrite pour la telefilm” c’est un score du maestro qui figure dans mon top ten. j’y reviens souvent, mais j’ai mes moments…..Comme quand tu veux déguster une bonne bouteille de vin millésimé.
Heureux que tu ai apprécier, mais j’étais sur de mon coup sur cette partition la.
A te lire mon bon Laurent.