4.6K
Genre: Score
Date: 2000
Country: USA
Audio codec: MP3/FLAC
Quality: 320 kbs/lossless
Playtime: 1:02:18
01. A Heart Beats In Space (07:58)
02. A Martian (06:06)
03. A World Which Searches (02:58)
04. And Afterwards? (06:33)
05. A Wife Lost (03:27)
06. Towards The Unknown (08:15)
07. Ecstasy Of Mars (02:57)
08. Sacrifice Of A Hero (13:20)
09. Where? (05:32)
10. An Unexpected Surprise (02:33)
11. All The Friends (02:39)
MP3 – Download “Mission to Mars” Soundtrack
FLAC – Download “Mission to Mars” Soundtrack
23 comments
You, sir, are a star!
Hi
Any chance to up load to upload.net?
Thanks
Finalmente esta banda fue rechazada y se optó por la música escrita por ese otro gran genio llamado Philip Glass.
REUP LOAD PLEASE!!
Raul Lizama creo que te equivocas, la partitura rechazada fue la de Danny Elfman.
Thanks so much for ost admin
Some of the art covers are broken
But really thanks again
ADMIN Any chance of FLAC?
Add FLAC
Thank you very much, Admin §
@Diogène,
“A Heart beats in space” et “ecstasy” sont 2 morceaux dont le titre résume fort bien le moment musical vécu avec cette magnifique B.O. de MORRICONE. Ecstsay sans pilule, juste avec des instruments : quoi de mieux ?
Le premier titre de près de 8 mn passe la barre très haute dès le commencement : ce coeur qui bat, et que l’on retrouve à la fin (parallèlisme des formes fort bien construit), mais au même rythme, alors que l’écoute du morceau a forcément changé nos pulsations cardiaques ! La “trompette morriconienne” qui surgit à la fin, avec des choeurs discrets et comme toujours harmonieux, nous sommes bien dans l’espace, mais l’espace “morriconien” : fabuleux !
Deux réserves personnelles sur 2 titres :
-le n°6 “Towards the unkwnon” de plus de 8mn, que j’ai trouvé un peu long et répétitif
-le n°8 “Sacrifice of a hero”. Une plage de 13mn20, c’est difficile à “tenir”. Et j’avoue que les 5 premières minutes m’ont semblé “de trop”. Un silence et une attaque à la 6ème minute aurait peut-être été plus efficace. Car à partir de là, retour du “Grand Morricone”…
Mais je pinaille (et il faut bien te titiller un peu…lol…) et il faut (je sais) voir les images et la musique en même temps pour comprendre le choix du compositeur. Ceci ne vaut donc que pour une écoute “isolée”.
Bref, pas dans le top ten, mais pour le voyage interstellaire musical, c’est pleinement atteint. Quel dommage que le dernier morceau soit si court (par opposition justement à ce que j’ai pu regretter plus haut)…Merci de m’avoir rappelé cette BO., mon bon Diogène…Mais j’étais sur La Lune, quand il fallait partir pour Mars..lol…En tout cas, nouvelle mission réussie pour MORRICONE !!! A te lire,
Deux réserves personnelles sur 2 titres :
-le n°6 “Towards the unkwnon” de plus de 8mn, que j’ai trouvé un peu long et répétitif
-le n°8 “Sacrifice of a hero”. Une plage de 13mn20, c’est difficile à “tenir”. Et j’avoue que les 5 premières minutes m’ont semblé “de trop”. Un silence et une attaque à la 6ème minute aurait peut-être été plus efficace. Car à partir de là, retour du “Grand Morricone”…
Mais je pinaille (et il faut bien te titiller un peu…lol…) et il faut (je sais) voir les images et la musique en même temps pour comprendre le choix du compositeur. Ceci ne vaut donc que pour une écoute “isolée”.
Salut mon bon Laurent et oui, tu pinaille, mais je comprends ton point de vu, il faut être de toutes façon pinailleur sur ce genre de score, puis-ce que Morricone exerce un style bien particulier ici, le siens…..L’utilisation de l’orgue, de son ” rolling” synthé et de toute une construction mélodique qui ne tourne que sur un tempo électronique de guitare basse entrecoupé d’instruments a cordes pour asseoir le danger de la scène mise en musique. Les deux morceaux que tu cite sont des merveilles d’architecture musical, qui se mettent en place a la façon d’un bolero. Retente une écoute mon bon Laurent sur ses deux morceaux en particulier, ca vaut le coup d’approfondir le travail de Morricone la dessus, mais je sais bien que le ressenti personnel passe avant toutes choses…..Ici Morricone ne se cale pas sur les standard hollywoodien habituel sur ce genre de score….C’est ce dont je te parlais sur un précédent post, il a su mettre sa patte reconnaissable immédiatement tout en créant une partition a la fois novatrice et trés harmonieuse, avec des thématique vraiment forte, puissante, ” where ” pour Sacrifice of a hero” , écoute la construction du morceau, c’est un bijou ! , qui se cale sur un cahier des charges scénaristique certes, mais ou Morricone a eu l’intelligence de mêler plusieurs thème du score en un seul et même, avec tantôt un tempo martial lent et des sortes de voix synthétiques venu d’ailleurs, tantôt le debut de ” Where” ce titre d’un peu plus de 13 minutes regroupe tous les thème du film; arranger de tel façons a ce que l’homogénéité de la partition,reste cohérente tout en restant parfaitement centré sur une autre thématique ” celle de la scene du film” du grand art ! ….. très beau thème Morriconien ” all the friend” qui rappel furieusement ce que Morricone a ecris sur ” the untouchable” Four friends” qui est encore une fois une déclinaison magnifique dont Morricone s’est servis d’un score a un autre….j’aime et j’adore tout ce score mon bon Laurent et a chaque écoute, je découvre encore des choses ….Mais la piste que je préfère reste ” Where” c’est peut- être la seule piste de cette B.O qui commence par suivre scrupuleusement ce qui se passe a l’image de manière syncopé et l’on reconnais son travail fais sur l’eau ” dans Il Pianeta d’acqua” ensuite, les trompettes Morriconienne qui monte en puissance et qui annonce une apothéose, chose promise, chose dû,le tout finis dans un thème symphonique avec cœur absolument grandiose. et lors ce que j’entent un morceau comme ” Where” je regrette tout d’un coup que Morricone n’en ai pas fais plus a Hollywood, mais qu’importe , il réussis toujours a se démarquer de ses coreligionnaires par ses constructions mélodique et sa patte reconnaissable entres toutes.Allez, pour le plaisir !
https://www.youtube.com/watch?v=XtSEvcjjmpA
a te lire mon bon Laurent.
Mon bon Diogène, promis, je vais reprendre les 2 titres en question avec tes éclairages sous les yeux…il est certain que certains morceaux sont difficiles à apprécier sur une seule écoute et l’on a tendance, pour en écouter le plus possible, à passer à la B.O. suivante…Merci…A te lire,
Mon bon Laurent, je vais me permettre de t’expliquer deux ou trois petites choses a propos de Morricone et de son œuvre qui s’étale sur plusieurs période distincte.
Sa période Américaine est une des périodes les plus riches de sa carrière, car il s’est retrouvé très demandé outre Atlantique. Morricone n’est pas un symphoniste, mais il sais tout faire, il n’a pas a proprement parler une approche musical hollywoodienne, qui donne de la symphonie en veux tu en voila sur chaque score composé. Morricone comprends le film d’un réalisateur, puis compose un thème principal….D’une manière général il donne l’âme du film avec ce thème qu’il a composer et il le soigne a la manière d’un orfèvre confectionnant un bijoux unique, ensuite il le décline en fonction du souhaits des réalisateurs, mais Morricone ce n’est pas simplement qu’une boite a thèmes que tu ouvre a la manière d’une boite de bonbon quality street. Ok, tu ouvre la boite de bonbons multicolore et te met a les goûter un par un, ils sont tous aussi délicieux les uns que les autres, mais derrière cela il y a un travail, une profondeur de champ, de vision, que Morricone a travailler a sa manière durant toutes sa vie.
Faire de la symphonie aux stats ! Non, Morricone se positionne par rapport a sa propre mesure, c’est de cette manière qu’il se définit en tant que compositeur de stature mondial et c’est dans une toutes autres mesure qu’il s’est démarquer des tenors de la symphonie tels que : Williams, Goldsmith et autres grands compositeurs connus et reconnus mondialement.
Reprenons « Mission to Mars » et cette piste de 13 minutes. Dés l’ouverture tu plonge dans la scène du film, avec toujours cette guitare basse qui donne le tempo et les instruments autour, le thème principal de « Sacrifice of a héro » commence a « 2,35 » puis disparaît a « 3,00 » c’est a thème transitif, il laisse la place aux voix fantomatique du début du score tout en continuant a suivre les événement de la scène du film. A « 5,16 » et même un peu avant,bref retour du thème principal « Sacrifice of a héro », qui disparaît a nouveau a « 5,40 » laissnt de nouveaux place aux chuchotement cosmique du début du score et a l’intrigue de la scene. Retour du thème principal a « 6,45 » la continuité partitionné, entrecoupé si tu préfère, mais cette fois il se met en place dans le champs sonore de manière plus ample et plus majestueuse. A « 8,15 » de nouveau on recoupe, mais cette fois l’environnement sonore annonce clairement ce que l’on entendra plus tard dans « Where ». Retour du thème principal « Sacrifice of a héro » jusqu’à « 10,10 » ….Brève transition sur la scène du film, qui est clairement dans la lignée d’un autre chef d’œuvre magistral de sa période Américaine « Disclosur .» a « 11,40 » le retour du thème principal est développé jusqu’à son aboutissement. Du bel ouvrage, un pur bijoux.Si cet aspect du travail du Maestro t’intéresse, tu va forcément avoir a déguster « Disclosur » qui figure dans mon top 10 De Morricone dans sa période etats-unienne. Un chef d’œuvre du genre, il n’y a que Morricone pour écrire un truc pareil. Mais encore une fois ne t’abîme pas les oreilles la dessus en MP3.
A te lire mon bon Laurent.
Mon bon Diogène,
Tu parlais de qualité de plume : Quel plaisir de profiter de l’expression de ta passion pour le Maestro !
Quant au “découpage” d’un titre, c’est vraiment intéressant à suivre, outre le référencement que cela requiert.
On ne s’en lasse pas, je t’assure ;
Tu ne parles par contre jamais de MORRICONE et les films français. C’est par eux pour ma part que je suis entré enfant dans son univers musical. Bien sûr les films de BELMONDO, DELON (“le clan des siciliens” me donne toujours autant de frissons…), VENTURA….Peut-être trouves-tu que c’est une musique moins travaillée ? Les thèmes qu’il a confectionnés (en orfèvre, comme tu le soulignes fort justement) sont pourtant là également…J’avoue que j’aimerais bien lire ton avis là-dessus…
Et bien c’est a dire mon bon Laurent, que le travail de Morricone sur les films Français, sont un peu comme le travail du Maestro sur les film Italiens ” a quelques exceptions prêt”, assez redondant et répétitif, mais j’apprécie aussi beaucoup certains Scores, comme peur sur la ville, le casse, les voleurs de la nuits, la Banquiere, et beaucoup d’autres, c’est juste que tu ne me laisse pas le temps ! lol…
Peur sur la ville par exemple, est un Score parfaitement travaillé, I comme Icare également, mais ses meilleurs prestations se trouvent dans ses compositions Italienne et Americaine. J’entend par prestation, des scores qui ont vraiment compter dans le Cinéma Mondial et cela, je n’y peux rien.
Pour la plume, je te remercie, mais hélas je n’en aurais jamais une aussi belle qu’un Français instruis comme toi. Je ne suis qu’un autodidacte, amoureux de la langue Française que j’assassine régulièrement par manque de vocabulaire, sans compter les fautes en tous genres que j’accumule tous les deux mots ! lol, mais je te remercie quand même de supporter tout cela…mdr…l’important n’est il pas que l’on arrive a se comprendre ? Je crois que la passion qui nous réunis ici, fais trés bien le travail mon bon Laurent.
A te lire.
Mon bon Diogène,
Merci pour ta réponse à brûle-pourpoint sur MORRICONE et le cinéma français. Je pense effectivement qu’il est davantage question de retentissement mondial que de qualité véritable. MORRICONE reste MORRICONE, qu’il compose pour VERNEUIL, COMENCINI ou DE PALMA…Après, chaque cinéma national a ses caractéristiques et des exigences qui peuvent influer sur la composition. Ainsi, je partage ton regret qu’il n’ait pas davantage travaillé pour le cinéma américain par exemple.
Pour le reste, ton message m’a touché également mais le fait de se dire autodidacte n’a rien de réducteur à mes yeux, au contraire. Je partage au-delà de la musique ton amour de la langue française et tu ne la “massacres” pas du tout, bien au contraire, je te l’assure. D’ailleurs, tu t’exprimes toujours clairement et franchement, en connaissant tes sujets parfaitement, ce qui fait d’ailleurs que tes avis et commentaires sont unanimement appréciés sur le site, ce qui n’est guère mon cas…lol…on m’a même souhaité d’attraper le cancer, si tu t’en souviens…Mais la bêtise est également humaine…hélas…Maintenant, l’important est effectivement que nous puissions échanger librement et franchement, même lorsque nous ne sommes pas parfaitement d’accord, sur ce qui nous réunit ici comme tu le dis si bien, à savoir la passion de la musique et de la musique de film plus précisément. Aussi, pour moi qui n’échange avec personne, je te remercie vivement de m’avoir accepté dans ton cercle de connaissances épistolaires.. Merci donc pour cela également. A te lire,
Salut mon bon Laurent :
Mon bon Diogène,
Merci pour ta réponse à brûle-pourpoint sur MORRICONE et le cinéma français. Je pense effectivement qu’il est davantage question de retentissement mondial que de qualité véritable. MORRICONE reste MORRICONE, qu’il compose pour VERNEUIL, COMENCINI ou DE PALMA…Après, chaque cinéma national a ses caractéristiques et des exigences qui peuvent influer sur la composition.
Je ne pense pas que l’on puisse résumer cela de cette manière, Morricone durant tout un pan de sa carrière ” en Italie” ne s’est borner qu’a écrire un ou deux thème par film, puis a les décliné ” avec beaucoup de science “. Cela n’est pas dû a Morricone lui même, c’est ce que demandais les réalisateurs de film Italien a cette époque, mais ce n’est pas non plus ce que l’on pourrais appeler un véritable travail de composition. ” Mission to Mars” par exemple, est un véritable travail de composition, avec des thématique forte, varié, qui se croise, se recoupe, avec des plages electro recherché, de la symphonie, du thème romantique, qui ne se décline que très rarement ou bien a bon escient . Ce qui le distingue complètement par exemple d’un titre comme “le professionnel “, ” la cosa bufa” et tellement d’autres…Ce qui sauve tous le pan de cette carrière Morriconienne ” trés répétitive” c’est la science de la thématique et de la déclinaison que Morricone a travaillé, jusqu’à en devenir un véritable orfèvre, mais ce n’est pas ce que j’appel moi, un véritable travail de composition. Je te donne un autre exemple concret, je t’ai parler hier d’un score que je considère comme étant un de ses scores les plus aboutis de sa carrière Américaine” mais cela n’engage que moi ! Et cela me suffit toujours, lol” Disclosur.
Disclosur c’est trois thèmes décliné sur quinze pistes, dont un « le thème principal » reviendra une bonne dizaine de fois, le travail de Morricone sur ce titre est tellement concentré, qu’il en fais oublier ses propres déclinaisons. Je prends le thème principal, qui reviendra pratiquement partout : « An Unusual Approach » le titre dis tout déjà….
« An Unusual Approach » c’est la bête sous Jacente du film et Morricone s’applique particulièrement a nous la présenter, car tout le reste du Score ne va être qu’un suivis de cette bête venimeuse qui rampe insidieusement vers sa proie « dans le Film, Michael Douglas, sa vie professionnel et par extension sa famille ».
Morricone, nous la présente : des le départ nous avons ses quelques coup de baguette sur les cymbales, « le magicien réveil la bête » et les première mesure musical nous la présente pour la toute première fois timidement « elle se réveille » pour continuer a nous la dévoilé dans son integralité jusqu’à la fin de la piste. Je ne vais pas décortiquer toute la piste mon bon Laurent, mais tu l’a compris je pense, Morricone par sa composition sur un seul thème, révèle « par la musique » un autre protagoniste que ce que nous montre les images du film « la bête ». C’est cela « un travail » de composition.
Finalement, de quoi s’agit il en écoutant attentivement cette piste ?
Il s’agit d’une véritable saloperie, une Gorgone, un Dragon de Komodo, un être venimeux qui se répand tous le long du score auquel Morricone donne vie, c’est le Leviathan Biblique en somme et les déclinaisons de ce thème, tous le long du score, ne sont que la représentation de cette bête, dans les différents moment du film ou elle rentre en scène.
Morricone n’oublie pas pour autant, le combat du bien contre le mal, puis-ce qu’il incorpore un très beau thème familial «Serene Family » décliné une fois, pour nous laisser respirer un peu en écartant les anneaux du serpent de notre cou, car ce Score est irrespirable « c’est voulu » mais quel talents d’écriture pour en arriver a un tel degré d’emprise musical ! C’est cela, un travail de composition chez Morricone et je te conseil vivement de le découvrir.
Pour le reste mon bon Laurent, je ne me plains absolument pas de mon statut, bien au contraire ! Ma vie fût une découverte a chaque page tourné, remplis de passion nouvelle et sans cesse renouveler, si j’avais été « formater » comme bien des braves gens en ce monde, je me serais ennuyer a mourir….j’ai fais le trie comme pour chaque chose entres les gens que je considère digne d’intérêt pour moi en clivant les autres et suis heureux de t’avoir rencontrer mon bon Laurent. Car, tu m’apparaît être un homme intelligent, ouvert d’esprit, cultivé, avec cette faculté de vouloir toujours aller plus loin dans la découverte, sans préjugé ni chaînes d’ordre culturel au pied, t’empêchant d’aller de l’avant , bref , la soif de découverte toujours et encore nous anime et c’est cela le désir de vivre. Les malencontreux et autres vampires n’ont aucunes importances pour moi, je les balayent d’un revers de main sans même m’en rendre compte mon bon Laurent et comme disais Gabin dans un singe en hiver : https://www.youtube.com/watch?v=MQuDX1Pb7A0
Lol…
A te lire….
Mon bon Diogène,
je te remercie vivement pour avoir pris le temps de me répondre aussi longuement.
Nous avons déjà eu l’occasion de parler des 2 “méthodes” morriconiennes, à savoir le thème travaillé et décliné, et les partitions “complètes” où chaque morceau fait véritablement l’objet d’un travail de composition. Ton analyse est une nouvelle fois tout aussi précise, intéressante que justifiée. Je suis actuellement à la moitié d'”Oceano”. C’est une oeuvre vraiment à part, qui nécessitera de toute façon une 2ème écoute. Je t’en reparlerai. A ce stade, sans connaître le film ni ce qu’il raconte, je ressens à travers la musique de MORRICONE qu’il veut parler de l’Histoire de l’Humanité, qui se conjugue avec l’Histoire de la Musique, et qui a fait ce qu’il est devenu. Nous avons tous les instruments voire bruits possibles résumant la création de l’art sonore, depuis les primitifs aux percussions, la musique de la Grèce antique (j’ai un CD sur des reconstitutions de la musique d’époque grâce à des musicologues, c’est vraiment très proche), la flûte et les percussions des Indiens d’Amérique, du Nord et du Sud, des instruments de l’Inde….et derrière tout cela émerge la splendeur de la musique de MORRICONE. Je suis sans doute à côté de la plaque mais c’est ce que j’ai ressenti à l’écoute. Mais, ce n’est pas une musique d’accès facile et je vais d’abord terminer l’album puis le remettre en entier, d’un seul tenant. Mais c’est vraiment une expérience étonnante !
Enfin, je suis très touché par tes aimables propos à mon endroit. Je n’en mérite pas tant mais cela fait particulièrement plaisir venant de ta part !
Enfin, merci pour cet extrait formidable d”un singe en hiver”, qui va éclairer ma journée. Ce film est vraiment un bijou de notre cinéma français. Mais les bijoux de famille du cinéma français ont disparu…lol…Encore un coup d’Arsène LUPIN…A te lire avec toujours autant de plaisir…
A ce stade, sans connaître le film ni ce qu’il raconte, je ressens à travers la musique de MORRICONE qu’il veut parler de l’Histoire de l’Humanité, qui se conjugue avec l’Histoire de la Musique, et qui a fait ce qu’il est devenu.
c’est pas vraiment ça, mais après tout, ton ressentis est peut-être, tout aussi valable que le mien….lol…..Ce n’est pas vraiment un “essais” que compose Morricone sur Oceano. Il accompagne un Misanthrope Polynésien en quête d’une ile perdu au milieu de l’océan pacifique ….” eh oui, même les polynésiens fuient la connerie humaine….” lol et donc, Morricone reconstruis toute une ambiance sonore et musical sur l’environnement de l’ile. Bruit du vent a la harpe, hululement de chouette a la flute, l’ alizé a travers les feuilles d’arbre ” représenté par les mélopées de edda dell’ Orso” et bien d’autres choses encore….Oui, c’est surprenant ! c’est un langage musical primaire qui parle au coeur d’une manière simple et naturel et l’exercice de style très épuré et a la fois tellement sophistiqué de Morricone ici, est simplement grandiose……Il te faudra de toutes façons plusieurs écoute pour apprécier ce travail et découvrir, c’est un ovni !
Oups !!! Je m’étais fait manifestement un autre film…Finalement, c’est aussi la richesse de cette oeuvre…Maintenant, je vais pouvoir la reprendre avec les véritables intentions de l’auteur, c’est tout de même préférable…lol…Merci mon bon Diogène…
a l’epoque, j’avais découvert ce Score en LP chez un ami et personne ne savais exactement de quoi il était question, on etait un petit groupe comme ça, passioné par la musique ” surtout rock, indé, blues, underground ” et uniquement en vinyle puis-ce que le support CD n’existait pas encore et Morricone avec certaines de ses partitions comme ” feed back” etait parmi nos préférés et on ne fumait pas que des cigarette si tu vois ce que je veux dire…lol et cet Opus ” Oceano” a été longtempsun disque incontournable dans nos soirées. Plus tard, je me suis acheté ma premiere vrais bonne platine vinyle , une ” Sansui” que j’avais acheter au Japon et j’ai tenté de retrouver Oceano en LP, ce disque m’a couter une veritable fortune ! les collectionneurs se l’arrachait a prix d’or, mais je l’ai eu quand même et je peux te dire que ce disque là aussi a tourner…..
Et je peux te dire que je garde d’autant plus précieusement mon téléchargement….profitant honteusement de ton investissement personnel…Merci encore !
Le vinyle a une valeur marchande beaucoup plus importante mon bon Laurent, mais soit ! garde honteusement mon investissement personnel, cela me sied tout a fait lol…..
A te lire mon bon Laurent.